Cette décision a été prise, le 10 septembre, par le Conseil des ministres des Etats membres et avec l’accord du Groupe consultatif de la recherche agricole internationale (GCRAI), précise l’institut sur son site web consulté par Ouestafnews.
La décision de changer de dénomination est consécutive à l’adhésion de pays d’Afrique du Centre, de l’Est et du Nord, en plus de ceux de l’Afrique de l’Ouest. Cette ouverture s’est opérée depuis 2007 grâce aux excellents résultats enregistrés par ce centre, souligne la même source.
“Ce changement de nom reflète la réalité actuelle. Aujourd’hui, notre centre est très différent de ce qu’il était à sa mise en place en 1971 au vu de l’augmentation du nombre des pays membres au delà de l’Afrique de l’Ouest et de l’adoption à l’échelle continentale des biens publics qu’il a générés”, a indiqué le Conseil des ministres.
Le Centre du riz pour l’Afrique (AfricaRice) est un des quinze centres de recherche agricole du monde supportés par le GCRAI. En outre, il est une organisation intergouvernementale couvrant présentement toute l’Afrique.
Le Conseil a souligné que l’appropriation panafricaine du Centre s’est fortement intensifiée depuis 2007, période à laquelle six pays d’Afrique du Centre, de l’Est et du Nord ont rejoint le Centre. Résultat : le nombre de pays membres du Centre du riz pour l’Afrique est passé de 17 en 2006 à 23 en 2009.
Le Conseil a noté qu’en fait les technologies et services du Centre bénéficient à 34 pays africains dont 11 non-membres.
L’Adrao est surtout connu pour avoir introduit le Nerica (nouveau riz pour l’Afrique) en Afrique de l’Ouest et dans d’autres pays africains. Ce Nerica existe aujourd’hui en plusieurs variétés.
Le riz, aliment prisé dans beaucoup de pays d’Afrique de l’ouest où il constitue dans certains cas un aliment de base, est essentiellement importé d’Asie.
AfricaRice dont le siège reste à Cotonou a été créé en 1971 et est actuellement dirigée par le Sénégalais Papa Abdoulaye Seck.
La décision de changer de dénomination est consécutive à l’adhésion de pays d’Afrique du Centre, de l’Est et du Nord, en plus de ceux de l’Afrique de l’Ouest. Cette ouverture s’est opérée depuis 2007 grâce aux excellents résultats enregistrés par ce centre, souligne la même source.
“Ce changement de nom reflète la réalité actuelle. Aujourd’hui, notre centre est très différent de ce qu’il était à sa mise en place en 1971 au vu de l’augmentation du nombre des pays membres au delà de l’Afrique de l’Ouest et de l’adoption à l’échelle continentale des biens publics qu’il a générés”, a indiqué le Conseil des ministres.
Le Centre du riz pour l’Afrique (AfricaRice) est un des quinze centres de recherche agricole du monde supportés par le GCRAI. En outre, il est une organisation intergouvernementale couvrant présentement toute l’Afrique.
Le Conseil a souligné que l’appropriation panafricaine du Centre s’est fortement intensifiée depuis 2007, période à laquelle six pays d’Afrique du Centre, de l’Est et du Nord ont rejoint le Centre. Résultat : le nombre de pays membres du Centre du riz pour l’Afrique est passé de 17 en 2006 à 23 en 2009.
Le Conseil a noté qu’en fait les technologies et services du Centre bénéficient à 34 pays africains dont 11 non-membres.
L’Adrao est surtout connu pour avoir introduit le Nerica (nouveau riz pour l’Afrique) en Afrique de l’Ouest et dans d’autres pays africains. Ce Nerica existe aujourd’hui en plusieurs variétés.
Le riz, aliment prisé dans beaucoup de pays d’Afrique de l’ouest où il constitue dans certains cas un aliment de base, est essentiellement importé d’Asie.
AfricaRice dont le siège reste à Cotonou a été créé en 1971 et est actuellement dirigée par le Sénégalais Papa Abdoulaye Seck.