PAR OUESTAFNEWS
Le Forum, qui entre dans le cadre du « Partenariat avec l’Afrique » lancé en 2005 par le dirigeant allemand, sera officiellement ouvert dans la soirée du 2 novembre, a Wiesbaden, localité non loin de la ville de Francfort, avant que les hôtes du président allemand ne se retrouvent à partir de samedi dans un monastère à Ebarbach (Ouest de l’Allemagne) non loin des bords du Rhin, selon le programme parvenu à Ouestafnews.
Parmi les chefs d’Etats ayant confirmé leur participation figurent les présidents du Mozambique, Armando Guebuza, celui du Botswana Festus Mogae, du Nigeria Umaru Yar’Adua, selon des sources proches de la présidence allemande.
Pendant trois jours les leaders africains et leur pair allemand vont débattre sur les « réponses africaines et allemandes » aux « défis du changement », à côté d’autres personnalités issues des milieux universitaire, artistique et de l’entreprise ainsi que des inellectuels et acteurs de la société civile venus d’Afrique et d’Allemagne.
"L’Afrique est en mutation. Une nouvelle dynamique est née. Les Africains ont pris eux-mêmes des initiatives importantes en vue du règlement des problèmes sur leur continent », affirme le chef d’Etat allemand dans une note d ‘intention qui justifie son initiative en citant des exemples telles que la création de l’Union africaine ou encore le Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD).
Toutefois selon plusieurs sources allemandes, les milieux d’affaires allemands, comme leurs autres collègues européens, restent encore méfiants lorsqu’il s’agit d’investir sur le continent.
Parmi les principaux obstacles cités pou justifier leur frilosité figurent le manque d’infrastructures, l’instabilité politique, la mal-gouvernance, etc…
A côté de ces obstacles – parfois réels parfois supposés – figurent aussi l’image négative de l’Afrique que dépeignent la plupart des médias occidentaux, qui ne s’intéressent que très peu aux évolutions et changements que connaît le continent.
Toutefois la nouvelle ruée vers l’Afrique d’investisseurs en provenance d’autres pays comme les géants asiatiques que sont la Chine et l’Inde ainsi que les Emirats Arabes Unis et d’autres pays du Golfe a ravivé quelque peu l’intérêt pour l’Afrique dans les milieux européens.
Le Forum d’Ebarbach, qui prend fin le 4 novembre, est le troisième organisé dans le cadre du « Partenariat avec l’Afrique » initié par Horst Köhler. La première rencontre avait eu lieu en 2005 à Petersberg près de Bonn, alors que le Ghana, un des partenaires favoris de l’Allemagne en Afrique de l’Ouest avait abrité la deuxième conférence en janvier 2007 à Accra.
Cette rencontre intervient quelques semaines seulement après la tournée africaine de la chancellière allemande Angela Merkel, véritable détentrice du pouvoir exécutif dans un pays où le président à plutôt un rôle d’unificateur et détient un titre honorifique, néanmoins très respecté.
Parmi les chefs d’Etats ayant confirmé leur participation figurent les présidents du Mozambique, Armando Guebuza, celui du Botswana Festus Mogae, du Nigeria Umaru Yar’Adua, selon des sources proches de la présidence allemande.
Pendant trois jours les leaders africains et leur pair allemand vont débattre sur les « réponses africaines et allemandes » aux « défis du changement », à côté d’autres personnalités issues des milieux universitaire, artistique et de l’entreprise ainsi que des inellectuels et acteurs de la société civile venus d’Afrique et d’Allemagne.
"L’Afrique est en mutation. Une nouvelle dynamique est née. Les Africains ont pris eux-mêmes des initiatives importantes en vue du règlement des problèmes sur leur continent », affirme le chef d’Etat allemand dans une note d ‘intention qui justifie son initiative en citant des exemples telles que la création de l’Union africaine ou encore le Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD).
Toutefois selon plusieurs sources allemandes, les milieux d’affaires allemands, comme leurs autres collègues européens, restent encore méfiants lorsqu’il s’agit d’investir sur le continent.
Parmi les principaux obstacles cités pou justifier leur frilosité figurent le manque d’infrastructures, l’instabilité politique, la mal-gouvernance, etc…
A côté de ces obstacles – parfois réels parfois supposés – figurent aussi l’image négative de l’Afrique que dépeignent la plupart des médias occidentaux, qui ne s’intéressent que très peu aux évolutions et changements que connaît le continent.
Toutefois la nouvelle ruée vers l’Afrique d’investisseurs en provenance d’autres pays comme les géants asiatiques que sont la Chine et l’Inde ainsi que les Emirats Arabes Unis et d’autres pays du Golfe a ravivé quelque peu l’intérêt pour l’Afrique dans les milieux européens.
Le Forum d’Ebarbach, qui prend fin le 4 novembre, est le troisième organisé dans le cadre du « Partenariat avec l’Afrique » initié par Horst Köhler. La première rencontre avait eu lieu en 2005 à Petersberg près de Bonn, alors que le Ghana, un des partenaires favoris de l’Allemagne en Afrique de l’Ouest avait abrité la deuxième conférence en janvier 2007 à Accra.
Cette rencontre intervient quelques semaines seulement après la tournée africaine de la chancellière allemande Angela Merkel, véritable détentrice du pouvoir exécutif dans un pays où le président à plutôt un rôle d’unificateur et détient un titre honorifique, néanmoins très respecté.
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