Selon le calendrier fourni par les organisateurs, les activités de ce 5ème FSA axé sur « l’Afrique des peuples en marche contre la mondialisation néolibérale » devrait débuter le mardi 25 novembre dans l’après midi par une marche populaire dans les artères de la capitale nigérienne, suivie d’un concert dans la soirée.
Près de 3000 personnes, dont plus d’un millier de Nigériens venant des régions de l’intérieur du pays et un autre millier de résidents de la capitale devraient converger dans les artères de la ville et y retrouver plusieurs centaines de participants en provenance du reste de l’Afrique, mais aussi d’autres parties du monde, selon les organisateurs.
Les travaux du Forum sont quant à eux prévus pour démarrer le mercredi 26 novembre, par une conférence en plénière sur « l’Afrique dans l’arc des crises ».
Cette première rencontre va évoquer les crises financière, énergétique, environnementale et alimentaire qui frappent l’Afrique de plein fouet.
La veille même de l’ouverture de ce 5ème FSA, la capitale nigérienne a été plongée dans le noir pendant quelques heures, en raison d’une coupure d’électricité.
Les autres plénières prévues par le Forum se tiennent respectivement les 27 et 28 novembre et portent sur « l’Afrique dans la Géopolitique mondiale » et sur les « défis de la construction démocratique en Afrique », à un moment où certains observateurs n’hésitent plus à parler de pause démocratique dans la sous région ouest africaine.
« Certains de nos acquis démocratiques commencent à être remis en question », a notamment regretté le Nigérien Abdourahmane Ousmane, membre de l’association Alternative Espace Citoyen en charge de l’organisation du Forum.
Le FSA, pendant africain du Forum Social Mondial (FSM) lancé au début de cette décennie à Porto Alegre , a comme slogan « une Autre Afrique est possible ».
Outre les grandes conférences prévues en plénière, plusieurs sujets évoqués par les participants allant de l’exploitation des richesses minières du continent à la question de la souveraineté alimentaire.
Les slogans ambitieux mis de côté, dans la capitale nigérienne certains observateurs n’ont pas manqué d’interroger les organisateurs sur l’impact réel de telles rencontres.
En effet le FSA se contente d’être un lieu de débat sur les problèmes du continent. A l’image du Forum Social Mondial, il ne « donne pas de mot d’ordre politique » à l’issue des délibérations, préférant laisser chaque organisation participante libre d’en faire ce qui lui convient le plus.
Près de 3000 personnes, dont plus d’un millier de Nigériens venant des régions de l’intérieur du pays et un autre millier de résidents de la capitale devraient converger dans les artères de la ville et y retrouver plusieurs centaines de participants en provenance du reste de l’Afrique, mais aussi d’autres parties du monde, selon les organisateurs.
Les travaux du Forum sont quant à eux prévus pour démarrer le mercredi 26 novembre, par une conférence en plénière sur « l’Afrique dans l’arc des crises ».
Cette première rencontre va évoquer les crises financière, énergétique, environnementale et alimentaire qui frappent l’Afrique de plein fouet.
La veille même de l’ouverture de ce 5ème FSA, la capitale nigérienne a été plongée dans le noir pendant quelques heures, en raison d’une coupure d’électricité.
Les autres plénières prévues par le Forum se tiennent respectivement les 27 et 28 novembre et portent sur « l’Afrique dans la Géopolitique mondiale » et sur les « défis de la construction démocratique en Afrique », à un moment où certains observateurs n’hésitent plus à parler de pause démocratique dans la sous région ouest africaine.
« Certains de nos acquis démocratiques commencent à être remis en question », a notamment regretté le Nigérien Abdourahmane Ousmane, membre de l’association Alternative Espace Citoyen en charge de l’organisation du Forum.
Le FSA, pendant africain du Forum Social Mondial (FSM) lancé au début de cette décennie à Porto Alegre , a comme slogan « une Autre Afrique est possible ».
Outre les grandes conférences prévues en plénière, plusieurs sujets évoqués par les participants allant de l’exploitation des richesses minières du continent à la question de la souveraineté alimentaire.
Les slogans ambitieux mis de côté, dans la capitale nigérienne certains observateurs n’ont pas manqué d’interroger les organisateurs sur l’impact réel de telles rencontres.
En effet le FSA se contente d’être un lieu de débat sur les problèmes du continent. A l’image du Forum Social Mondial, il ne « donne pas de mot d’ordre politique » à l’issue des délibérations, préférant laisser chaque organisation participante libre d’en faire ce qui lui convient le plus.