Elu en Novembre dernier face au républicain John McCain, Barack Obama, restera pour l’histoire le premier président noir des Etats Unis, mais surtout le symbole vivant de la capacité de l’homme à se forger un destin dans un contexte hostile.
Prières, musique, émotions, références à l’histoire et à la grandeur de l’Amérique auront marqué cette cérémonie d’investiture, dont l’ancien sénateur de l’Illinois a voulu qu’elle soit une fête et un moment de communion avec un peuple qui s’est mobilisé en masse pour le porter au pouvoir dans l’espoir d’un changement.
Les basses températures à Washington n’y ont rien fait, selon des journalistes accrédités à la maison blanche, Barack Obama a tenu à ce que la cérémonie, se passât à l’extérieur, histoire pour lui d’associer un peuple affligé par une crise économique sans précédent et surtout par huit années de règne de George W. Bush, le président sortant qui termine son mandat quasiment vomi par tout son peuple et très mal apprécié par une bonne partie de l’humanité.
A cette Amérique meurtrie et exsangue et au monde qui le suivait, le nouveau chef d’Etat le plus puissant du monde, a une nouvelle fois lancé son message d’espoir, mais avec cette fois une bonne dose de réalisme.
« Le temps de rester sans rien faire, de protéger des intérêts égoïstes et de refuser de prendre les décisions qui fâchent – ce temps est totalement révolu », a déclaré le nouveau président américain suivi par au moins deux millions de personnes qui s’étaient massées dans la capitale fédérale américaine et des millions de téléspectateurs, d’auditeurs et d’internautes à travers le monde.
Le nouveau président prend les rênes alors que son pays traverse une très grave crise économique, l’ensemble de son système bancaire est au bord du gouffre, plus de 11 millions d’Américains sont au chômage, l’armée américaine s’est engluée dans de coûteux bourbiers en Afghanistan en Irak et l’image des Etats-Unis dans l’opinion mondiale n’est plus qu’une pale copie de ce que fut son prestige d’antan.
« Il est temps de refaire l’Amérique », a lancé à ces concitoyens Obama, dont le père est originaire du Kenya.
Noir dans une société longtemps et encore fortement dominé par les blancs, Barack Oabama n’a pas manqué de rappeler qu’il ya juste 60 ans, il était impossible à un noir de se faire « servir dans un restaurant » aux Etats-Unis, avant de rappeler que tous les être humains sont « égaux et libres et méritent tous une chance d’aspirer à leur dose de bonheur ».
Avant son élection, Barack Obama a suscité une fascination bien au delà des Etats-Unis, par son charisme, mais aussi et surtout pour l’espoir qu’il a su incarner et véhiculer dans son pays et en dehors des frontières de celui-ci.
Il vient au pouvoir auréolé d’une gloire comme rarement un chef d’Etat n’en a eu avant lui, s’accordent à dire les analystes, mais il lui faudra bien plus pour booster le moral très bas de ses compatriotes en ces temps de crises et de doute.
Prières, musique, émotions, références à l’histoire et à la grandeur de l’Amérique auront marqué cette cérémonie d’investiture, dont l’ancien sénateur de l’Illinois a voulu qu’elle soit une fête et un moment de communion avec un peuple qui s’est mobilisé en masse pour le porter au pouvoir dans l’espoir d’un changement.
Les basses températures à Washington n’y ont rien fait, selon des journalistes accrédités à la maison blanche, Barack Obama a tenu à ce que la cérémonie, se passât à l’extérieur, histoire pour lui d’associer un peuple affligé par une crise économique sans précédent et surtout par huit années de règne de George W. Bush, le président sortant qui termine son mandat quasiment vomi par tout son peuple et très mal apprécié par une bonne partie de l’humanité.
A cette Amérique meurtrie et exsangue et au monde qui le suivait, le nouveau chef d’Etat le plus puissant du monde, a une nouvelle fois lancé son message d’espoir, mais avec cette fois une bonne dose de réalisme.
« Le temps de rester sans rien faire, de protéger des intérêts égoïstes et de refuser de prendre les décisions qui fâchent – ce temps est totalement révolu », a déclaré le nouveau président américain suivi par au moins deux millions de personnes qui s’étaient massées dans la capitale fédérale américaine et des millions de téléspectateurs, d’auditeurs et d’internautes à travers le monde.
Le nouveau président prend les rênes alors que son pays traverse une très grave crise économique, l’ensemble de son système bancaire est au bord du gouffre, plus de 11 millions d’Américains sont au chômage, l’armée américaine s’est engluée dans de coûteux bourbiers en Afghanistan en Irak et l’image des Etats-Unis dans l’opinion mondiale n’est plus qu’une pale copie de ce que fut son prestige d’antan.
« Il est temps de refaire l’Amérique », a lancé à ces concitoyens Obama, dont le père est originaire du Kenya.
Noir dans une société longtemps et encore fortement dominé par les blancs, Barack Oabama n’a pas manqué de rappeler qu’il ya juste 60 ans, il était impossible à un noir de se faire « servir dans un restaurant » aux Etats-Unis, avant de rappeler que tous les être humains sont « égaux et libres et méritent tous une chance d’aspirer à leur dose de bonheur ».
Avant son élection, Barack Obama a suscité une fascination bien au delà des Etats-Unis, par son charisme, mais aussi et surtout pour l’espoir qu’il a su incarner et véhiculer dans son pays et en dehors des frontières de celui-ci.
Il vient au pouvoir auréolé d’une gloire comme rarement un chef d’Etat n’en a eu avant lui, s’accordent à dire les analystes, mais il lui faudra bien plus pour booster le moral très bas de ses compatriotes en ces temps de crises et de doute.
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