La décision a été prise à l’issue d’un conseil des ministre présidé par Yayi Boni chef de l’état béninois.
Areeba et Telecel sont accusés par les autorités béninoises de "mutations illégales".
Selon les autorités béninoises, Telecel est devenu Moov, Benincell est devenu Areeba, puis MTN, "sans respecter les procédures".
"Ces deux opérateurs ont été sommés de se conformer aux textes régulant la communication au Bénin, en s’acquittant des frais de leur licence et des frais de changement de dénomination", selon beninhuzu, une newsletter proche de la présidence béninoise parvenue à Ouestafnews.
"Passé ce délai", affirme les auteurs du document, le Bénin "devra sévir pour se faire respecter".
"L’activité de téléphonie mobile au Bénin connaît une forte croissance. Mais, par insuffisance d’encadrement, la gestion du secteur a vite débouché sur le désordre et l’anarchie où l’intérêt de l’Etat est bafoué, les consommateurs abusés et exploités", affirme Désiré Adadja, ministre délégué auprès du président de la République chargé des Technologies de l’information et de la communication dans un texte publié sur le site officiel du gouvernement béninois.
Une étude commanditée par l’Etat du Bénin dans le secteur des télécommunications avait fait en janvier dernier "l’amer constat" de la "grande anarchie" qui prévaut dans ce secteur.
A la suite de cette étude, le gouvernement avait annoncé une série de mesures drastiques, pour lutter contre cette anarchie.
L’étude révélait, entre autres scandales, qu’un total de "47 opérateurs sur 50 visités", exercent "tout ou partie de leurs activités en violation des textes", privant ainsi l’Etat béninois "d’importantes recettes".
Une étude de l’Union internationale des télécommunications, publier en septembre dernier, faisait de l’Afrique de l’ouest une des grandes zone de développement de la téléphonie mobile avec parfois des taux de croissance dépassant les 100 % par an.
Ces projections ont transformé l’Afrique de l’ouest en champ de bataille pour les opérateurs de téléphonie mobile et les fabriquant d’appareils.(Ouestafnews)
Areeba et Telecel sont accusés par les autorités béninoises de "mutations illégales".
Selon les autorités béninoises, Telecel est devenu Moov, Benincell est devenu Areeba, puis MTN, "sans respecter les procédures".
"Ces deux opérateurs ont été sommés de se conformer aux textes régulant la communication au Bénin, en s’acquittant des frais de leur licence et des frais de changement de dénomination", selon beninhuzu, une newsletter proche de la présidence béninoise parvenue à Ouestafnews.
"Passé ce délai", affirme les auteurs du document, le Bénin "devra sévir pour se faire respecter".
"L’activité de téléphonie mobile au Bénin connaît une forte croissance. Mais, par insuffisance d’encadrement, la gestion du secteur a vite débouché sur le désordre et l’anarchie où l’intérêt de l’Etat est bafoué, les consommateurs abusés et exploités", affirme Désiré Adadja, ministre délégué auprès du président de la République chargé des Technologies de l’information et de la communication dans un texte publié sur le site officiel du gouvernement béninois.
Une étude commanditée par l’Etat du Bénin dans le secteur des télécommunications avait fait en janvier dernier "l’amer constat" de la "grande anarchie" qui prévaut dans ce secteur.
A la suite de cette étude, le gouvernement avait annoncé une série de mesures drastiques, pour lutter contre cette anarchie.
L’étude révélait, entre autres scandales, qu’un total de "47 opérateurs sur 50 visités", exercent "tout ou partie de leurs activités en violation des textes", privant ainsi l’Etat béninois "d’importantes recettes".
Une étude de l’Union internationale des télécommunications, publier en septembre dernier, faisait de l’Afrique de l’ouest une des grandes zone de développement de la téléphonie mobile avec parfois des taux de croissance dépassant les 100 % par an.
Ces projections ont transformé l’Afrique de l’ouest en champ de bataille pour les opérateurs de téléphonie mobile et les fabriquant d’appareils.(Ouestafnews)
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