Les questions liées à la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (BCEAO), à la Banque ouest africaine de développement (BOA) ainsi qu’à la Côte d’Ivoire ont été au centre des échanges entre Hama amadou et les autorités du pays hôte.
La BCEAO et la BOAD sont toutes deux dirigées par des intérimaires, suite à la nomination il y a un an de Charles Konan Banny (ex-gouverneur de la BCEAO) comme premier ministre de Côte d’Ivoire et au départ de Yayi Boni (ex-patron de la BOAD) élu depuis six mois à la tête de son pays, le Bénin.
Quelques réunions ont déjà eu lieu au sein des Etats membres de l’Union monétaire ouest africaine (UEMOA) pour régler la question de la succession dans ces deux institutions financières sous régionales, mais jusque là aucun consensus n’a pu être trouvé.
Quant à la Côte ‘Ivoire, elle est déchirée par une crise qui dure depuis septembre 2002 et doit faire l’objet d’une réunion au niveau du Conseil de sécurité de l’ONU dans les tout prochains jours.
"Nous espérons que les douze mois accordés aux autorités ivoiriennes leur permettront de trouver une solution définitive qui ramènera la Côte d’Ivoire sur le chemin de la paix et de la solidarité avec les autres pays de la CEDEAO (communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest) et de l’UEMOA », a affirmé le premier ministre nigérien face à la presse.
La BCEAO et la BOAD sont toutes deux dirigées par des intérimaires, suite à la nomination il y a un an de Charles Konan Banny (ex-gouverneur de la BCEAO) comme premier ministre de Côte d’Ivoire et au départ de Yayi Boni (ex-patron de la BOAD) élu depuis six mois à la tête de son pays, le Bénin.
Quelques réunions ont déjà eu lieu au sein des Etats membres de l’Union monétaire ouest africaine (UEMOA) pour régler la question de la succession dans ces deux institutions financières sous régionales, mais jusque là aucun consensus n’a pu être trouvé.
Quant à la Côte ‘Ivoire, elle est déchirée par une crise qui dure depuis septembre 2002 et doit faire l’objet d’une réunion au niveau du Conseil de sécurité de l’ONU dans les tout prochains jours.
"Nous espérons que les douze mois accordés aux autorités ivoiriennes leur permettront de trouver une solution définitive qui ramènera la Côte d’Ivoire sur le chemin de la paix et de la solidarité avec les autres pays de la CEDEAO (communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest) et de l’UEMOA », a affirmé le premier ministre nigérien face à la presse.
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