”Cet appui, sous forme d’aide non remboursable d’une durée de trois ans (2009-2011) s’élève à 10 milliards de FCFA. L’aide est destinée à soutenir le Burkina Faso dans la mise en œuvre de ses programmes de réformes économiques et sociales visant à établir les bases nécessaires d’une croissance économique forte et durable permettant de réduire l’incidence de la pauvreté”, rapporte le quotidien gouvernemental burkinabé Sidwaya.
La signature de la convention de financement est intervenue, mercredi à Ouagadougou, entre le ministre de l’Economie et de Finances Lucien Marie Noël Bembamba et Dominik Langenbacher, ambassadeur de Suisse au Burkina Faso, précise la même source.
Selon M. Langenbacher, l’aide est destinée à appuyer les efforts du gouvernement sur quatre axes. D’abord, la réduction de la pauvreté, a-t-il expliqué, à travers la mise en œuvre de "programme d’actions prioritaires du cadre stratégique de lutte contre la pauvreté".
Ensuite, la consolidation de son programme de stabilisation économique, le troisième axe est relatif à la mise en place de politiques favorables au développement du secteur privé. Enfin, le quatrième point concerne le renforcement de la gestion budgétaire.
"L’accord que nous venons de signer est le septième du genre ", a confié l’ambassadeur au journal Sidwaya.
Toutefois, reconnaissant que cette contribution n’est pas ciblée, celui-ci a souhaité avoir des échanges plus approfondies dans le cadre des dispositifs sectoriels.
Il a ainsi annoncé la mise à disposition très prochaine par la Suisse d’une enveloppe de 400 millions de francs pour l’assistance technique à la direction générale des impôts.
Pour sa part, le ministre Lucien Marie Noël Bembamba, a souligné que cet acte témoigne de l’excellence des relations de coopération qui existent entre le gouvernement burkinabè et celui de la confédération suisse.
"Cet accord, du reste, qui sera mis en œuvre au cours des années 2009, 2010 et 2011 et qui renforcera nos capacités de précisions de ressources budgétaires grâce à son caractère pluriannuel, est arrivé à point nommé", a déclaré le ministre.
Il a réitéré l’engagement du gouvernement burkinabè à veiller au respect des vertus communes en matière de gestion budgétaire à savoir la transparence, la fiabilité et l’efficacité.
La signature de la convention de financement est intervenue, mercredi à Ouagadougou, entre le ministre de l’Economie et de Finances Lucien Marie Noël Bembamba et Dominik Langenbacher, ambassadeur de Suisse au Burkina Faso, précise la même source.
Selon M. Langenbacher, l’aide est destinée à appuyer les efforts du gouvernement sur quatre axes. D’abord, la réduction de la pauvreté, a-t-il expliqué, à travers la mise en œuvre de "programme d’actions prioritaires du cadre stratégique de lutte contre la pauvreté".
Ensuite, la consolidation de son programme de stabilisation économique, le troisième axe est relatif à la mise en place de politiques favorables au développement du secteur privé. Enfin, le quatrième point concerne le renforcement de la gestion budgétaire.
"L’accord que nous venons de signer est le septième du genre ", a confié l’ambassadeur au journal Sidwaya.
Toutefois, reconnaissant que cette contribution n’est pas ciblée, celui-ci a souhaité avoir des échanges plus approfondies dans le cadre des dispositifs sectoriels.
Il a ainsi annoncé la mise à disposition très prochaine par la Suisse d’une enveloppe de 400 millions de francs pour l’assistance technique à la direction générale des impôts.
Pour sa part, le ministre Lucien Marie Noël Bembamba, a souligné que cet acte témoigne de l’excellence des relations de coopération qui existent entre le gouvernement burkinabè et celui de la confédération suisse.
"Cet accord, du reste, qui sera mis en œuvre au cours des années 2009, 2010 et 2011 et qui renforcera nos capacités de précisions de ressources budgétaires grâce à son caractère pluriannuel, est arrivé à point nommé", a déclaré le ministre.
Il a réitéré l’engagement du gouvernement burkinabè à veiller au respect des vertus communes en matière de gestion budgétaire à savoir la transparence, la fiabilité et l’efficacité.
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