L’Offre Publique de Vente, qui s’adresse à "tous les publics", sera lancée sur la place boursière de Praia et aura effectivement lieu dans la période allant du 26 mars au 20 avril 2007.
Gros investisseurs comme petits épargnants, acteurs institutionnels et opérateurs privés individuels ou regroupés en consortium, sont invités à souscrire.
Un appel particulier a été lancé à l’endroit de la diaspora cap-verdienne pour participer à l’opération, selon une note d’information adressée aux repreneurs potentiels et obtenue par Ouestafnews.
Chaque action sera cédée au prix de 4400 escudos Cap-verdiens, soit un peu plus de 26.000 FCFA. Aucun souscripteur ne peut dépasser la barre des 50.000 actions, dans ce processus que les autorités veulent "transparent, juste et équitable" pour tous les intéressés.
A la veille du début des opérations, le ministre cap-verdien de l’Economie, de la Croissance et de la Compétitivité José Brito, a lancé un appel à l’endroit de tous les Cap-verdiens pour qu’ils participent à cette opération, afin qu’ils deviennent des acteurs de la vie économique nationale et gardent "le contrôle" de leur patrimoine, pour eux mêmes et pour les générations futures.
Le gouvernement cap-verdien est engagé depuis plusieurs années dans un grand programme de privatisation visant à ouvrir le capital des grandes entreprises publiques aux opérateurs privés. Créée en 1979, Enacol avait déjà vu l’entrée dans son capital en 1997 des Portugais et des Angolais à l’issue d’une opération de privatisation.
Gros investisseurs comme petits épargnants, acteurs institutionnels et opérateurs privés individuels ou regroupés en consortium, sont invités à souscrire.
Un appel particulier a été lancé à l’endroit de la diaspora cap-verdienne pour participer à l’opération, selon une note d’information adressée aux repreneurs potentiels et obtenue par Ouestafnews.
Chaque action sera cédée au prix de 4400 escudos Cap-verdiens, soit un peu plus de 26.000 FCFA. Aucun souscripteur ne peut dépasser la barre des 50.000 actions, dans ce processus que les autorités veulent "transparent, juste et équitable" pour tous les intéressés.
A la veille du début des opérations, le ministre cap-verdien de l’Economie, de la Croissance et de la Compétitivité José Brito, a lancé un appel à l’endroit de tous les Cap-verdiens pour qu’ils participent à cette opération, afin qu’ils deviennent des acteurs de la vie économique nationale et gardent "le contrôle" de leur patrimoine, pour eux mêmes et pour les générations futures.
Le gouvernement cap-verdien est engagé depuis plusieurs années dans un grand programme de privatisation visant à ouvrir le capital des grandes entreprises publiques aux opérateurs privés. Créée en 1979, Enacol avait déjà vu l’entrée dans son capital en 1997 des Portugais et des Angolais à l’issue d’une opération de privatisation.
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