Au menu des travaux des chefs d’états figurent en bonne place la crise ivoirienne avec l’examen d’un rapport Conseil de paix conseil de paix et de sécurité de l’organisation sous régionale.
La Cedeao, à l’instar de l’Union africaine (U.A) et de l’Organisation des Nations-Unies, reconnaît la victoire d’Alassane Ouattara, considéré comme vainqueur de l’élection présidentielle du 28 novembre 2010 face à son rival qui l’a opposé au président sortant Laurent Gbagbo.
Selon le communiqué de la Cedeao, le sommet se penchera aussi sur la réintégration de la Guinée et du Niger, deux pays « suspendus » qui viennent d’achever avec succès des processus électoraux avec respectivement l’élection d’Alpha Condé et de Mahamadou Issoufou.
Enfin les chefs d’Etat statueront sur la requête du Tchad, pays d’Afrique centrale qui sollicite un « statut d’observateur » au sein de la Cedeao.
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