Ce sera le premier exercice du genre organisé pour cette force qui doit être composée de 6.500 soldats avec l’approbation du Comité des chefs états-majors de la CEDEAO, selon un communiqué de l’organisation sous-régionale transmis à Ouestafnews.
Des représentants de l’Union Africaine et de l’Union européenne ont également participé à la réunion, ainsi que des officiers représentant la France, la Grande Bretagne, les Etats-Unis et les Forces des Nations unies.
Le Général nigérien Hassan Lai, commandant de cette force sous-régionale, a expliqué que l’exercice militaire permettra d’évaluer le statut et la capacité de cette force.
La création d’une force en attente de la CEDEAO, comprenant une unité d’intervention rapide de 1.500 hommes, a été décidée en juin 2004, à la suite de recommandations formulées par l’Union africaine qui a demandé que chaque région géographique du continent mette en place une brigade spéciale, capable d’intervenir rapidement pour restaurer et maintenir la paix dans les Etats en crise.
Elle devrait être opérationnelle à partir de 2010 et permettra d’atteindre les objectifs de développement économique pour lesquels la CEDEAO a été créée en 1975. La Force d’attente est basée à Abuja, au Nigeria, sous le commandement du général nigérien Hassan Lai.
Les multiples situations de crises sur le continent africain, couplé aux difficultés voire à l’incapacité de certains États à assurer leur sécurité ont amené les dirigeants africains à envisager de remédier à cette situation.
Le schéma général adopté par les chefs d’États africains prévoit la mise en place progressive de cette force d’ici 2010. L’essentiel des forces sera en réalité géré au niveau d’organisations régionales : la Communauté Économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), la Communauté sud-africaine de développement (SADC), l’Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD), la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) et l’Afrique du nord.
Chacune de ces régions devra abriter une brigade de la Force africaine en attente (FAA). A l’exception de la CEDEAO et de la SADC, la décision donnant mandat à ces forces d’intervenir reste néanmoins du ressort exclusif de l’Union africaine.
Des représentants de l’Union Africaine et de l’Union européenne ont également participé à la réunion, ainsi que des officiers représentant la France, la Grande Bretagne, les Etats-Unis et les Forces des Nations unies.
Le Général nigérien Hassan Lai, commandant de cette force sous-régionale, a expliqué que l’exercice militaire permettra d’évaluer le statut et la capacité de cette force.
La création d’une force en attente de la CEDEAO, comprenant une unité d’intervention rapide de 1.500 hommes, a été décidée en juin 2004, à la suite de recommandations formulées par l’Union africaine qui a demandé que chaque région géographique du continent mette en place une brigade spéciale, capable d’intervenir rapidement pour restaurer et maintenir la paix dans les Etats en crise.
Elle devrait être opérationnelle à partir de 2010 et permettra d’atteindre les objectifs de développement économique pour lesquels la CEDEAO a été créée en 1975. La Force d’attente est basée à Abuja, au Nigeria, sous le commandement du général nigérien Hassan Lai.
Les multiples situations de crises sur le continent africain, couplé aux difficultés voire à l’incapacité de certains États à assurer leur sécurité ont amené les dirigeants africains à envisager de remédier à cette situation.
Le schéma général adopté par les chefs d’États africains prévoit la mise en place progressive de cette force d’ici 2010. L’essentiel des forces sera en réalité géré au niveau d’organisations régionales : la Communauté Économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), la Communauté sud-africaine de développement (SADC), l’Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD), la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) et l’Afrique du nord.
Chacune de ces régions devra abriter une brigade de la Force africaine en attente (FAA). A l’exception de la CEDEAO et de la SADC, la décision donnant mandat à ces forces d’intervenir reste néanmoins du ressort exclusif de l’Union africaine.