Ces deux rencontres vont intervenir au lendemain du constat de blocage dressé par le Groupe international du travail, le GTI chargé du suivi du processus de paix en Côte d’ ‘Ivoire. Elles font également suite à la proposition d’un dialogue "direct" faite par le président Laurent Gbagbo aux Forces Nouvelles, l’ex-rébellion qui contrôle le nord du pays.
Le GTI, dans son dernier communiqué, obtenu par Ouestafnews, constatait à l’issue d’une réunion tenue le 12 janvier, "une impasse totale due principalement au refus de certaines parties ivoiriennes d’accepter et d’appliquer la résolution 1721" de Organisation des Nations unies.
Ce refus de la résolution de l’ONU 1721 est généralement attribuée au président Gbagbo, dont les partisans affirment que le schéma tracé par les Nations unies violent la constitution ivoirienne en ce qu’elle dépouille le chef de l’Etat de l’essentiel de ses pouvoirs au profit du premier ministre Charles Konan Banny.
Dans son communiqué le GTI s’en remet à l’Unions africaine (U.A) et à la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) qui devraient faire des recommandations à l’organisation des nations unies avant le 1er février.
La CEDEAO -dont un sommet prévu fin décembre avait été reportée – devrait se réunir au niveau des chefs d’Etat le 19 janvier à Ouagadougou et l’Union africaine les 29 et 30 janvier dans la capitale éthiopienne.
A la veille de ses échéances, le GTI "exhortent les présidents en exercice de la CEDEAO et de l’Union Africaine à réunir, dès que possible, les parties Ivoiriennes afin de débloquer la situation et de relancer la mise en oeuvre de la résolution 1721".
La Côte d’Ivoire est coupée en deux depuis septembre 2002.
Le GTI, dans son dernier communiqué, obtenu par Ouestafnews, constatait à l’issue d’une réunion tenue le 12 janvier, "une impasse totale due principalement au refus de certaines parties ivoiriennes d’accepter et d’appliquer la résolution 1721" de Organisation des Nations unies.
Ce refus de la résolution de l’ONU 1721 est généralement attribuée au président Gbagbo, dont les partisans affirment que le schéma tracé par les Nations unies violent la constitution ivoirienne en ce qu’elle dépouille le chef de l’Etat de l’essentiel de ses pouvoirs au profit du premier ministre Charles Konan Banny.
Dans son communiqué le GTI s’en remet à l’Unions africaine (U.A) et à la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) qui devraient faire des recommandations à l’organisation des nations unies avant le 1er février.
La CEDEAO -dont un sommet prévu fin décembre avait été reportée – devrait se réunir au niveau des chefs d’Etat le 19 janvier à Ouagadougou et l’Union africaine les 29 et 30 janvier dans la capitale éthiopienne.
A la veille de ses échéances, le GTI "exhortent les présidents en exercice de la CEDEAO et de l’Union Africaine à réunir, dès que possible, les parties Ivoiriennes afin de débloquer la situation et de relancer la mise en oeuvre de la résolution 1721".
La Côte d’Ivoire est coupée en deux depuis septembre 2002.
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