Ces rencontres, visent à « donner un aperçu des enjeux du thème scientifique du Fesman : ‘Renaissance africaine, diversité culturelle et unité africaine’ », annoncent les organisateurs dans un communiqué parvenu à Ouestafnews.
Il sera aussi question lors de ces rencontres de Dakar de « rendre hommage à Césaire » (Aimé Césaire, le poète et militant antillais de la négritude, décédé en 2008).
Selon le site web officiel du Fesman, le grand poète antillais est le « parrain d’honneur » de ce 3ème festival mondial des arts nègres.
Selon le communiqué, « peu avant sa mort (Césaire), avait donné son onction au FESMAN en acceptant d’en être le parrain.»
Le 3ème Fesman fait suite au 1er festival organisé à Dakar en 1966 par le premier président sénégalais, Léopold Sédar Senghor. Le second avait eu lieu à Lagos au Nigéria, plus d’une décennie plus tard, en 1977.
Selon les organisateurs de cette 3ème édition , le Fesman, « c’est le legs absolu de Senghor, ‘l’homme qui prit en mains le destin culturel d’un continent’ ; c’est le souffle et la vie de la culture noire ».
Ce 3ème Fesman, qui se tiendra pendant deux semaines dans la capitale sénégalaise, devrait faire de Dakar ce que le premier président du Sénégal à toujours rêvé de faire d’elle, un espace pour la création et un creuset de rencontres et d’échanges culturels.
Pour cette 3ème édition Dakar, selon les organisateurs, partagera les festivités avec d’autres villes sénégalaises dont, « l’Île de Gorée », l’île mémoire située au large de Dakar d’où partirent plusieurs milliers d’esclaves dont les descendants seront représentés au Fesman dans les délégations en provenance de la diaspora, notamment celles venant des Etats-Unis, d’Amérique latine et des Caraïbes,
Les villes de Thiès (70 km à l’est de Dakar) Saint-Louis (vieille Cité coloniale dans le nord), Tambacounda (à l’extrême est) Ziguinchor (au sud) et Kaolack (centre) compléteront ce tableau pour les villes sénégalaises.
A côté, des capitales ouest africaines seront aussi associées à l’événement (Conakry, Bissau, Banjul, Nouakchott et Bamako).
Lors d’un récent conseil des ministres, le président sénégalais Abdoulaye Wade, avait une nouvelle fois intimé l’ordre au Comité d’organisation de donner « plus de visibilité » au Fesman.
Le Festival, que les autorités sénégalaises veulent grandiose, a été plusieurs fois reporté et a connu un retard de près de trois ans, par rapport au calendrier initial qui avait fixé l’évènement en juin 2006.
Selon des chiffres fournis sur le bloggeur Jerome Carlos, qui se présente comme « chroniqueur, historien, et analyste politique », le 3ème Fesman, avec un budget de 15 milliards a un coût 5 fois supérieur à celui de l’édition de 1966.
Il sera aussi question lors de ces rencontres de Dakar de « rendre hommage à Césaire » (Aimé Césaire, le poète et militant antillais de la négritude, décédé en 2008).
Selon le site web officiel du Fesman, le grand poète antillais est le « parrain d’honneur » de ce 3ème festival mondial des arts nègres.
Selon le communiqué, « peu avant sa mort (Césaire), avait donné son onction au FESMAN en acceptant d’en être le parrain.»
Le 3ème Fesman fait suite au 1er festival organisé à Dakar en 1966 par le premier président sénégalais, Léopold Sédar Senghor. Le second avait eu lieu à Lagos au Nigéria, plus d’une décennie plus tard, en 1977.
Selon les organisateurs de cette 3ème édition , le Fesman, « c’est le legs absolu de Senghor, ‘l’homme qui prit en mains le destin culturel d’un continent’ ; c’est le souffle et la vie de la culture noire ».
Ce 3ème Fesman, qui se tiendra pendant deux semaines dans la capitale sénégalaise, devrait faire de Dakar ce que le premier président du Sénégal à toujours rêvé de faire d’elle, un espace pour la création et un creuset de rencontres et d’échanges culturels.
Pour cette 3ème édition Dakar, selon les organisateurs, partagera les festivités avec d’autres villes sénégalaises dont, « l’Île de Gorée », l’île mémoire située au large de Dakar d’où partirent plusieurs milliers d’esclaves dont les descendants seront représentés au Fesman dans les délégations en provenance de la diaspora, notamment celles venant des Etats-Unis, d’Amérique latine et des Caraïbes,
Les villes de Thiès (70 km à l’est de Dakar) Saint-Louis (vieille Cité coloniale dans le nord), Tambacounda (à l’extrême est) Ziguinchor (au sud) et Kaolack (centre) compléteront ce tableau pour les villes sénégalaises.
A côté, des capitales ouest africaines seront aussi associées à l’événement (Conakry, Bissau, Banjul, Nouakchott et Bamako).
Lors d’un récent conseil des ministres, le président sénégalais Abdoulaye Wade, avait une nouvelle fois intimé l’ordre au Comité d’organisation de donner « plus de visibilité » au Fesman.
Le Festival, que les autorités sénégalaises veulent grandiose, a été plusieurs fois reporté et a connu un retard de près de trois ans, par rapport au calendrier initial qui avait fixé l’évènement en juin 2006.
Selon des chiffres fournis sur le bloggeur Jerome Carlos, qui se présente comme « chroniqueur, historien, et analyste politique », le 3ème Fesman, avec un budget de 15 milliards a un coût 5 fois supérieur à celui de l’édition de 1966.
Vous voulez réagir à cet article ou nous signaler une erreur, envoyez nous un mail à info[@]ouestaf.com