« Monsieur Bassolé a souhaité l’intervention personnelle du Chef de l’Etat Burkinabè pour faire ‘passer un certain nombre de messages et surtout, pour appuyer le médiateur conjoint dans la recherche de solutions politiques’ », peut-on lire sur le site officiel de la présidence du Faso consulté par Ouestafnews.
M. Bassolé s’exprimait à l’issue d’une audience qui s’est déroulée le 8 août avec le président Burkinabé, déjà médiateur dans le conflit ivoirien et principal artisan de l’accord politique ayant permis au Togo de retrouver la paix et d’aller aux élections en 2007.
La crise au Darfour, en dépit de plusieurs médiations et de plusieurs accords,reste une épine au pied de l’Afrique et met en mauvaise posture le régime du président soudanais Omar Hassan El Béchir.
L’Union Africaine et les Nations Unies qui y ont déployé une force de paix conjointe, la « Minuad » n’arrive pas à assurer la cessation définitive des combats entre les mouvements rebelles et les milices pro-gouvernementales, encore moins les attaques contre les populations civiles.
Selon le diplomate burkinabè, M. Compaoré pourrait user de ses « relations » avec son homologue soudanais pour permettre de réaliser des avancées.
La crise du Darfour se trouve actuellement dans l’impasse. Une récente demande formulée par le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) pour que cette institution délivre un mandant d’arrêt international contre le président soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, a fait empirer la situation.
L’Union Africaine a officiellement demandé l’arrêt de cette procédure judiciaire estimant qu’elle compromettrait les chances de parvenir à une paix définitive.
Le conflit au Darfour a fait entre 200 et 300.000 morts, selon les organisations humanitaires internationales, alors que le gouvernement de Khartoum parle de 10.000 morts tout au plus.
M. Bassolé s’exprimait à l’issue d’une audience qui s’est déroulée le 8 août avec le président Burkinabé, déjà médiateur dans le conflit ivoirien et principal artisan de l’accord politique ayant permis au Togo de retrouver la paix et d’aller aux élections en 2007.
La crise au Darfour, en dépit de plusieurs médiations et de plusieurs accords,reste une épine au pied de l’Afrique et met en mauvaise posture le régime du président soudanais Omar Hassan El Béchir.
L’Union Africaine et les Nations Unies qui y ont déployé une force de paix conjointe, la « Minuad » n’arrive pas à assurer la cessation définitive des combats entre les mouvements rebelles et les milices pro-gouvernementales, encore moins les attaques contre les populations civiles.
Selon le diplomate burkinabè, M. Compaoré pourrait user de ses « relations » avec son homologue soudanais pour permettre de réaliser des avancées.
La crise du Darfour se trouve actuellement dans l’impasse. Une récente demande formulée par le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) pour que cette institution délivre un mandant d’arrêt international contre le président soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, a fait empirer la situation.
L’Union Africaine a officiellement demandé l’arrêt de cette procédure judiciaire estimant qu’elle compromettrait les chances de parvenir à une paix définitive.
Le conflit au Darfour a fait entre 200 et 300.000 morts, selon les organisations humanitaires internationales, alors que le gouvernement de Khartoum parle de 10.000 morts tout au plus.
Vous voulez réagir à cet article ou nous signaler une erreur, envoyez nous un mail à info[@]ouestaf.com