Ces démissions font suite aux accusations et menaces de poursuites judiciaires qui pèsent sur la junte militaire en Guinée, depuis les évènements du 28 septembre 2009.
« Après les événements du 28 septembre 2009, mes convictions religieuses et morales ne me permettent plus d’exercer mes fonctions actuelles telles que je le souhaiterais », affirme le ministre dans sa lettre de démission adressée au capitaine Moussa Dadis Camara et citée par le site d’information guinéen aminata.com
Les évènements du 28 Septembre, qui ont remis en selle l’opposition, ont placé le capitaine Camara et sa junte dans une position inconfortable.
L’Union africaine a donné un ultimatum à l’actuel chef de l’Etat pour qu’il formalise son intention de ne pas se présenter à la présidentielle avant le 17 octobre.
C’est pour se dresser contre cette candidature que l’opposition avait appelé à un meeting de protestation sévèrement réprimé le 28 septembre.
La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao, dont la Guinée est membre) ainsi que le Groupe de Contact international sur la Guinée ont toutes deux condamné les événements du 28 septembre et exercent depuis une forte pression sur le régime du capitaine Camara.
Les Etats-Unis par la voix de la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton ont demandé la démission du Conseil national pour la démocratie et le développement alors que la France a affirmé qu’elle ne peut « plus » travailler avec la junte au pouvoir à Conakry.
Arrivé au pouvoir au lendemain du décès du président Lansana Conté en décembre 2008, le capitaine Camara avait été d’abord accueilli en sauveur, mais depuis que certaines franges de la société guinéenne ont manifesté de le voir candidat à la présidentielle pour mettre fin à la présidentielle, le pays s’est scindé en deux camps clairement antagonistes.
« Après les événements du 28 septembre 2009, mes convictions religieuses et morales ne me permettent plus d’exercer mes fonctions actuelles telles que je le souhaiterais », affirme le ministre dans sa lettre de démission adressée au capitaine Moussa Dadis Camara et citée par le site d’information guinéen aminata.com
Les évènements du 28 Septembre, qui ont remis en selle l’opposition, ont placé le capitaine Camara et sa junte dans une position inconfortable.
L’Union africaine a donné un ultimatum à l’actuel chef de l’Etat pour qu’il formalise son intention de ne pas se présenter à la présidentielle avant le 17 octobre.
C’est pour se dresser contre cette candidature que l’opposition avait appelé à un meeting de protestation sévèrement réprimé le 28 septembre.
La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao, dont la Guinée est membre) ainsi que le Groupe de Contact international sur la Guinée ont toutes deux condamné les événements du 28 septembre et exercent depuis une forte pression sur le régime du capitaine Camara.
Les Etats-Unis par la voix de la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton ont demandé la démission du Conseil national pour la démocratie et le développement alors que la France a affirmé qu’elle ne peut « plus » travailler avec la junte au pouvoir à Conakry.
Arrivé au pouvoir au lendemain du décès du président Lansana Conté en décembre 2008, le capitaine Camara avait été d’abord accueilli en sauveur, mais depuis que certaines franges de la société guinéenne ont manifesté de le voir candidat à la présidentielle pour mettre fin à la présidentielle, le pays s’est scindé en deux camps clairement antagonistes.
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