Certaines écoles à vocation sous régionale, souvent spécialisées dans un seul domaine, restent les meilleures références et délivrent des diplômes crédible reconnus par tous les pays.
Leur crédibilité et leur succès reposent sur le fait que leurs étudiants sont essentiellement recrutés sur concours.
Quelques établissements du secteur privé essaient également d’obtenir la reconnaissance de leurs diplômes par le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) qui a son siège à Ouagadougou, afin de leur donner plus dé crédibilité.
Ainsi au Burkina Faso par exemple, un nombre restreint d’établissements sur la trentaine reconnus par l’Etat délivrent des diplômes reconnus par le CAMES.
En avril dernier, le magazine panafricain basé à Paris, Jeune Afrique établissait de son côté un classement des 15 « meilleures » business schools africaines et incluaient quatre écoles de la sous région dans ce classement.
Trois de ces établissements se trouvent au Sénégal et une en Côte d’Ivoire.
Si les nominés de ce classement utilisent ces résultats à leur avantage, certains des absents de la liste ne sont pas sans le contester faisant remarquer par exemple que seule une université anglophone (Université de Wits en Afrique du Sud y figure).
Quant au niveau mondial, le classement qui fait le plus de bruit dans les milieux académiques, celui de l’Université de Shangaï en Chine, ne mentionnait en 2008 aucune université ou institution ouest africaine dans son « Top 100 », régulièrement publié chaque année depuis 2003.
Là aussi, les universitaires et formateurs de la sous région se consolent en disant qu’aucune université africaine ne figure dans ce Top 100 de toute façon, et que ce classement reste par ailleurs controversé et très dominé par les Anglo-saxons.
Leur crédibilité et leur succès reposent sur le fait que leurs étudiants sont essentiellement recrutés sur concours.
Quelques établissements du secteur privé essaient également d’obtenir la reconnaissance de leurs diplômes par le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) qui a son siège à Ouagadougou, afin de leur donner plus dé crédibilité.
Ainsi au Burkina Faso par exemple, un nombre restreint d’établissements sur la trentaine reconnus par l’Etat délivrent des diplômes reconnus par le CAMES.
En avril dernier, le magazine panafricain basé à Paris, Jeune Afrique établissait de son côté un classement des 15 « meilleures » business schools africaines et incluaient quatre écoles de la sous région dans ce classement.
Trois de ces établissements se trouvent au Sénégal et une en Côte d’Ivoire.
Si les nominés de ce classement utilisent ces résultats à leur avantage, certains des absents de la liste ne sont pas sans le contester faisant remarquer par exemple que seule une université anglophone (Université de Wits en Afrique du Sud y figure).
Quant au niveau mondial, le classement qui fait le plus de bruit dans les milieux académiques, celui de l’Université de Shangaï en Chine, ne mentionnait en 2008 aucune université ou institution ouest africaine dans son « Top 100 », régulièrement publié chaque année depuis 2003.
Là aussi, les universitaires et formateurs de la sous région se consolent en disant qu’aucune université africaine ne figure dans ce Top 100 de toute façon, et que ce classement reste par ailleurs controversé et très dominé par les Anglo-saxons.
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