Selon le point fait par le président de la Commission électorale indépendante (CEI), Robert Beugré Mambé, à la sixième session du Comité d’évaluation et d’accompagnement (CEA) de l’Accord politique de Ouagadougou, ”4.520.948 personnes sont enrôlées sur une population cible de 8. 663.190, soit un taux d’exécution de 52,19 %”, rapporte le quotidien gouvernemental burkinabè Sidwaya.
Depuis la signature en mars 2007 de l’Accord politique de Ouagadougou, sous la médiation du président Blaise Compaoré, le Burkina Faso s’est placé au cœur du processus de paix ivoirien.
Au niveau de l’état civil, l’inventaire fait par Boureima Badini, le représentant du facilitateur (le président Compaoré) en Côte d’Ivoire, montre que plus de 659 000 registres ont été traités, indique la même source.
Le Comité d’évaluation du processus de paix en Côte d’Ivoire a en outre demandé à la CEI de fixer une "période indicative" pour la présidentielle de 2009.
Cette élection présidentielle a été plusieurs fois repoussée depuis 2005.
S’exprimant lors de cette rencontre, le facilitateur, Blaise Compaoré, s’est félicité ”des acquis de l’opération d’identification et de recensement électoral, malgré les contraintes récurrentes".
M. Compaoré a souligné que cet accord signé le 22 décembre et soutenu par le Conseil de sécurité de l’ONU indique les mesures pour la résolution définitive des questions militaires et celles liées à la réunification du pays.
Un financement de 8 milliards de francs est encore à mobiliser et les bailleurs de fonds sont sollicités. L’Etat de Côte d’Ivoire, par la voix de son Premier ministre Guillaume Soro, affirme que son seuil d’endettement n’est plus acceptable et souhaite qu’à la prochaine rencontre des institutions de Bretton Woods, la Côte d’Ivoire soit éligible à la réduction de sa dette.
Sur la date du prochain scrutin, le CEA s’est accordé pour sa tenue dans le courant de cette année. Elle félicite la CEI pour le bon déroulement de l’opération d’identification et l’encourage à publier rapidement un chronogramme réaliste pour la tenue du premier tour du scrutin présidentiel.
Selon des analystes ivoiriens, l’élection n’intéresse plus les deux principaux camps antagonistes ayant conduit à la guerre en septembre 2002 et à la longue crise qui s’en est suivie, leurs deux leaders ayant trouvé un compromis avec l’accord de Ouagadougou.
Depuis la signature de cet accord, la légitimité du président Gbagbo n’est plus contestée par les Forces Nouvelles (F.N, ex-rébellion) et le chef de ces F.N Guillaume Soro est devenu premier ministre.
La 7-ème session du CEA aura lieu en avril prochain à Ouagadougou.
Depuis la signature en mars 2007 de l’Accord politique de Ouagadougou, sous la médiation du président Blaise Compaoré, le Burkina Faso s’est placé au cœur du processus de paix ivoirien.
Au niveau de l’état civil, l’inventaire fait par Boureima Badini, le représentant du facilitateur (le président Compaoré) en Côte d’Ivoire, montre que plus de 659 000 registres ont été traités, indique la même source.
Le Comité d’évaluation du processus de paix en Côte d’Ivoire a en outre demandé à la CEI de fixer une "période indicative" pour la présidentielle de 2009.
Cette élection présidentielle a été plusieurs fois repoussée depuis 2005.
S’exprimant lors de cette rencontre, le facilitateur, Blaise Compaoré, s’est félicité ”des acquis de l’opération d’identification et de recensement électoral, malgré les contraintes récurrentes".
M. Compaoré a souligné que cet accord signé le 22 décembre et soutenu par le Conseil de sécurité de l’ONU indique les mesures pour la résolution définitive des questions militaires et celles liées à la réunification du pays.
Un financement de 8 milliards de francs est encore à mobiliser et les bailleurs de fonds sont sollicités. L’Etat de Côte d’Ivoire, par la voix de son Premier ministre Guillaume Soro, affirme que son seuil d’endettement n’est plus acceptable et souhaite qu’à la prochaine rencontre des institutions de Bretton Woods, la Côte d’Ivoire soit éligible à la réduction de sa dette.
Sur la date du prochain scrutin, le CEA s’est accordé pour sa tenue dans le courant de cette année. Elle félicite la CEI pour le bon déroulement de l’opération d’identification et l’encourage à publier rapidement un chronogramme réaliste pour la tenue du premier tour du scrutin présidentiel.
Selon des analystes ivoiriens, l’élection n’intéresse plus les deux principaux camps antagonistes ayant conduit à la guerre en septembre 2002 et à la longue crise qui s’en est suivie, leurs deux leaders ayant trouvé un compromis avec l’accord de Ouagadougou.
Depuis la signature de cet accord, la légitimité du président Gbagbo n’est plus contestée par les Forces Nouvelles (F.N, ex-rébellion) et le chef de ces F.N Guillaume Soro est devenu premier ministre.
La 7-ème session du CEA aura lieu en avril prochain à Ouagadougou.
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