Une réunion de l’Union Européenne (U.E) avec les nouvelles autorités mauritaniennes s’est tenue le 20 octobre à Paris et a décidé d’adresser un « ultimatum » demandant aux autorités militaires de Nouakchott de prendre des mesures pour favoriser le retour à l’ordre constitutionnel dans un délai d’un mois.
Au même moment les hommes d’affaires français semblent se hâter pour intensifier leurs relations avec Nouakchott.
Ainsi, selon une dépêche de l’Agence France Presse (AFP) datée du 24 octobre et reprise sur le site Mauritanie-web, le groupe pétrolier Total vient de conclure un accord avec le gouvernement nommé par le régime militaire, arrivé au pouvoir le 6 août dernier.
Auparavant des sources mauritaniennes avait fait état de négociations au plus haut niveau entre le régime militaire et les responsables du groupe pétrolier.
Citant également des sources mauritaniennes, l’AFP indique que l’accord signé « concerne notamment l’élargissement et le renforcement de la route reliant Atar à Chinguetti, dans la région de l’Adrar, aux fins de permettre le passage de gros engins de recherches et de forages pétroliers ».
L’accord a été signé entre Pierre Desvoyes, Directeur général du groupe pétrolier et le ministre mauritanien du pétrole Dy Ould Zeine, nommé par la junte, souligne l’AFP.
De son côté l’Agence Mauritanienne d’Information (AMI, officielle), annonçait le 24 octobre que le général Ould Abdel Aziz a reçu en audience le même jour une délégation d’investisseurs « français partenaires du groupe Bouamatou pour le ciment conduits par M. Jacques Merceron- Vicat, président de la société Vicat ».
Ces investisseurs ont annoncé au patron de la junte « l’intention du Groupe Vicat de s’implanter en Mauritanie », poursuit la même source.
Depuis la survenue du putsch en Mauritanie le 6 août, l’Union Africaine, l’Union Européenne et les Etats Unis, tentent d’exercer des pressions et d’isoler les auteurs du coup d’Etat, afin qu’ils libèrent le président déchu Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, actuellement en résidence surveillée, et qu’ils permettent un « retour à l’ordre » constitutionnel.
Jusque là, la junte à opposé un refus catégorique à de telles sollicitations, le général Ould Abdel Aziz estimant qu’un « retour » en arrière n’est plus possible.
Au même moment les hommes d’affaires français semblent se hâter pour intensifier leurs relations avec Nouakchott.
Ainsi, selon une dépêche de l’Agence France Presse (AFP) datée du 24 octobre et reprise sur le site Mauritanie-web, le groupe pétrolier Total vient de conclure un accord avec le gouvernement nommé par le régime militaire, arrivé au pouvoir le 6 août dernier.
Auparavant des sources mauritaniennes avait fait état de négociations au plus haut niveau entre le régime militaire et les responsables du groupe pétrolier.
Citant également des sources mauritaniennes, l’AFP indique que l’accord signé « concerne notamment l’élargissement et le renforcement de la route reliant Atar à Chinguetti, dans la région de l’Adrar, aux fins de permettre le passage de gros engins de recherches et de forages pétroliers ».
L’accord a été signé entre Pierre Desvoyes, Directeur général du groupe pétrolier et le ministre mauritanien du pétrole Dy Ould Zeine, nommé par la junte, souligne l’AFP.
De son côté l’Agence Mauritanienne d’Information (AMI, officielle), annonçait le 24 octobre que le général Ould Abdel Aziz a reçu en audience le même jour une délégation d’investisseurs « français partenaires du groupe Bouamatou pour le ciment conduits par M. Jacques Merceron- Vicat, président de la société Vicat ».
Ces investisseurs ont annoncé au patron de la junte « l’intention du Groupe Vicat de s’implanter en Mauritanie », poursuit la même source.
Depuis la survenue du putsch en Mauritanie le 6 août, l’Union Africaine, l’Union Européenne et les Etats Unis, tentent d’exercer des pressions et d’isoler les auteurs du coup d’Etat, afin qu’ils libèrent le président déchu Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, actuellement en résidence surveillée, et qu’ils permettent un « retour à l’ordre » constitutionnel.
Jusque là, la junte à opposé un refus catégorique à de telles sollicitations, le général Ould Abdel Aziz estimant qu’un « retour » en arrière n’est plus possible.
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