Le déficit budgétaire ressort à 4,5% du produit intérieur brut, soit 0,3 point de plus que le taux initialement prévu pour 2009, apprend-on de source officielle.
D’après les chiffres fournis par le ministre des Finances Kent Ofori-Atta qui faisait la revue à mi-exercice du budget, les prévisions de croissances sont aussi revues à la baisse avec un taux de 7,1% pour l’année 2019 contre un 7,6% initialement prévu.
D’après le ministre Ofori-Atta, ces révisions sont dictées par des nouvelles tournures macroéconomiques comme la faiblesse du Cédi face aux dollars, et des revenus faibles par rapports aux prévisions.
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