Cette interdiction avait fini par plonger certains secteurs d’activités dans la léthargie, sans pour autant produire des résultats probants, rapporte le site d’information guineeactu.com, reprenant le
quotidien le Démocrate.
”C’est pour rectifier que le ministère de la Pêche et de l’Aquaculture a décidé de lever l’interdiction sur certains de ces produits, surtout pour ce qui est du secteur de la pêche”, selon la même source qui ajoute qu’à cause de cette mesure, les sociétés de pêche notamment ”avaient mis la clé sous le paillasson”.
La mesure a été prise au terme d’une rencontre entre le ministre de la Pêche et de l’Aquaculture, Youssouf Sylla et les centrales syndicales.
Toutefois, avertit le ministre, ”le riz et les produits pétroliers ne sont pas concernés par cette décision prise après avoir observé des manquements dans l’application de l’arrêté interdisant les exportations et réexportation”.
Relevant les ”effets pervers” de cette mesure, M. Sylla a expliqué ”qu’au lieu de créer l’abondance sur les marchés guinéens, et favoriser la réduction des prix, on s’est plutôt rendu compte de la raréfaction des denrées sur ces marchés-là”.
Autre argument avancé par le ministère de la Pêche et de l’Aquaculture, ”le fait que la Guinée était en porte-à-faux" avec les textes régissant la circulation des personnes et des biens dans la zone de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO).
quotidien le Démocrate.
”C’est pour rectifier que le ministère de la Pêche et de l’Aquaculture a décidé de lever l’interdiction sur certains de ces produits, surtout pour ce qui est du secteur de la pêche”, selon la même source qui ajoute qu’à cause de cette mesure, les sociétés de pêche notamment ”avaient mis la clé sous le paillasson”.
La mesure a été prise au terme d’une rencontre entre le ministre de la Pêche et de l’Aquaculture, Youssouf Sylla et les centrales syndicales.
Toutefois, avertit le ministre, ”le riz et les produits pétroliers ne sont pas concernés par cette décision prise après avoir observé des manquements dans l’application de l’arrêté interdisant les exportations et réexportation”.
Relevant les ”effets pervers” de cette mesure, M. Sylla a expliqué ”qu’au lieu de créer l’abondance sur les marchés guinéens, et favoriser la réduction des prix, on s’est plutôt rendu compte de la raréfaction des denrées sur ces marchés-là”.
Autre argument avancé par le ministère de la Pêche et de l’Aquaculture, ”le fait que la Guinée était en porte-à-faux" avec les textes régissant la circulation des personnes et des biens dans la zone de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO).
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