Oustafnews – Les femmes guinéennes sont les « meilleures clientes » des institutions de micro-finance en Guinée, selon un professionnel de ce secteur en plein essor dans ce pays malgré quelques difficultés.
Les femmes « remboursent plus les crédits et posent moins de problèmes», a affirmé Tidiane Diandia Barry, directeur général du Programme intégré pour le développement de la micro finance (Pride) qui président également l’Association des professionnelles de la micro-finance.
Fortes de l’appui des institution de micro-finance ces femmes parviennent aujourd’hui à déployer leurs activités au-delà de leur pays.
«Nombreux sont nos clients, dont notamment des femmes, qui mènent des activités commerciales avec les pays voisins de la Guinée. Certains vont vers les pays asiatiques comme la Chine et la Malaisie », selon M. Barry qui s’adressait à la presse.
Il a aussi évoqué les difficultés de la micro-finance en Guinée dues entre autres, à la crise politique actuelle ayant entraîné une certaine timidité de l’intervention des bailleurs de fonds qui accompagnent les institutions de la micro-finance dans leur processus de croissance.
« On ne peut pas non plus occulter les contraintes liées au système judiciaire guinéen qui n’est pas très performant et l’accès limité aux ressources », a-t-il conclu.
La Guinée compte aujourd’hui neuf institutions de micro-fiance.
Les femmes « remboursent plus les crédits et posent moins de problèmes», a affirmé Tidiane Diandia Barry, directeur général du Programme intégré pour le développement de la micro finance (Pride) qui président également l’Association des professionnelles de la micro-finance.
Fortes de l’appui des institution de micro-finance ces femmes parviennent aujourd’hui à déployer leurs activités au-delà de leur pays.
«Nombreux sont nos clients, dont notamment des femmes, qui mènent des activités commerciales avec les pays voisins de la Guinée. Certains vont vers les pays asiatiques comme la Chine et la Malaisie », selon M. Barry qui s’adressait à la presse.
Il a aussi évoqué les difficultés de la micro-finance en Guinée dues entre autres, à la crise politique actuelle ayant entraîné une certaine timidité de l’intervention des bailleurs de fonds qui accompagnent les institutions de la micro-finance dans leur processus de croissance.
« On ne peut pas non plus occulter les contraintes liées au système judiciaire guinéen qui n’est pas très performant et l’accès limité aux ressources », a-t-il conclu.
La Guinée compte aujourd’hui neuf institutions de micro-fiance.