Le capitaine Camara dirige la Guinée depuis le 23 décembre, date à laquelle il a pris le pouvoir à la tête d’un Conseil national pour la démocratie et le développement (CNDD), suite à la disparition la veille du président Lansana Conté qui a dirigé la Guinée pendant 24 ans.
”C’est le moment d’en appeler à votre compréhension, à votre coopération et à votre collaboration pour réussir cette transition qui devra aboutir à des élections réellement démocratiques”, a notamment déclaré le capitaine Camara dont les propos ont été relayés par Radio France Internationale.
Moussa Dadis Camara s’exprimait à Conakry lors d’une rencontre avec les ambassadeurs des pays du G8, les représentants de l’ONU et les principaux bailleurs de fonds de la Guinée.
”Des sanctions internationales ne sauraient être la solution au problème actuel de la Guinée. Plutôt que de nous sanctionner, il faut mieux nous accompagner dans notre engagement à restaurer une démocratie participante et collective”, a dit le président du CNDD.
”A nos partenaires multilatéraux au développement (Union européenne, institutions de Bretton Woods notamment), je réitère le même appel et le même engagement à nous accompagner sur des bases de concertations périodiques ou nous juger à la tâche. Vos soutiens sont importants”, a insisté le président de la Guinée.
L’Union africaine, qui a suspendu la Guinée des activités de l’organisation continentale, menace en outre de prendre des sanctions, si « l’ordre constitutionnel » n’est pas rétabli dans un délai de six mois.
Pour sa part, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) se dit disposé à accompagner le CNDD pour une « transition apaisée ».
”C’est le moment d’en appeler à votre compréhension, à votre coopération et à votre collaboration pour réussir cette transition qui devra aboutir à des élections réellement démocratiques”, a notamment déclaré le capitaine Camara dont les propos ont été relayés par Radio France Internationale.
Moussa Dadis Camara s’exprimait à Conakry lors d’une rencontre avec les ambassadeurs des pays du G8, les représentants de l’ONU et les principaux bailleurs de fonds de la Guinée.
”Des sanctions internationales ne sauraient être la solution au problème actuel de la Guinée. Plutôt que de nous sanctionner, il faut mieux nous accompagner dans notre engagement à restaurer une démocratie participante et collective”, a dit le président du CNDD.
”A nos partenaires multilatéraux au développement (Union européenne, institutions de Bretton Woods notamment), je réitère le même appel et le même engagement à nous accompagner sur des bases de concertations périodiques ou nous juger à la tâche. Vos soutiens sont importants”, a insisté le président de la Guinée.
L’Union africaine, qui a suspendu la Guinée des activités de l’organisation continentale, menace en outre de prendre des sanctions, si « l’ordre constitutionnel » n’est pas rétabli dans un délai de six mois.
Pour sa part, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) se dit disposé à accompagner le CNDD pour une « transition apaisée ».
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