Le Comité des chefs de service de sécurité de la CEDEAO (CCSS), qui pourrait voir le jour après une rencontre de deux jours ouverte mardi à Dakar rencontre de Dakar, devrait être doté de plusieurs compétences dans les domaines de la sécurité et l’assistance aux opérations de soutien à la paix.
Au plan de la sécurité, les termes de référence de la rencontre soulignent que ‘’le Comité étudie les rapports établis par la Commission de la CEDEAO sur l’état de la sécurité régionale et formule des recommandations aux instances de décision appropriées de la CEDEAO’’.
Parmi ses autres compétences, il pourra faire ‘’des recommandations sur les moyens de renforcer la coopération entre les services de sécurité au niveau régional afin de lutter plus efficacement contre le phénomène de la délinquance transfrontalière’’.
Le Comité aura aussi la possibilité de faire ‘’des recommandations sur la gouvernance et la réforme du secteur de sécurité dans les Etats membres’’, note le même document.
Dans le domaine de l’assistance aux opérations de soutien à la paix, ‘’il formule des recommandations en ce qui concerne la structure, la composition, l’équipement et le concept d’emploi de la composante police/gendarmerie de la FAC (Force en attente de la CEDEAO), l’identification des personnels, ainsi que la formation requise pour déploiement’’.
La formulation de recommandations en ce qui concerne ‘’le renforcement, au niveau stratégique, des capacités de planification des missions’’, et de celles ‘’relatives à l’évaluation des opérations de soutien à la paix (OSP) en cours’’ devraient aussi figurer au nombre de ses compétences.
Concernant la Force en attente de la CEDEAO, le comité pourrait être ‘’chargé’’ entre autres tâches de faire ’’l’évaluation du système de communication utilisé par les forces de police et de gendarmerie’’ et ‘’la participation à l’organisation de l’entraînement de la FAC et à l’évaluation de sa capacité à exécuter ses missions’’.
Le CCSS sera composé des chefs de police et des directeurs généraux et commandants de gendarmerie des Etats membres de la communauté.
En cas de besoin, et selon les matières inscrites à l’ordre du jour, le comité est élargi aux chefs des autres services tels que ceux de l’immigration, des douanes, de la lutte contre la drogue et les stupéfiants, de la sécurité aux frontières et de la Protection civile, ou des chefs d’Etat-major des armées des Etats membres de la CEDEAO.
Le comité se réunit une fois par semestre et à chaque fois que de besoin. L’idée de sa création a été lancée en juillet dernier.
Au plan de la sécurité, les termes de référence de la rencontre soulignent que ‘’le Comité étudie les rapports établis par la Commission de la CEDEAO sur l’état de la sécurité régionale et formule des recommandations aux instances de décision appropriées de la CEDEAO’’.
Parmi ses autres compétences, il pourra faire ‘’des recommandations sur les moyens de renforcer la coopération entre les services de sécurité au niveau régional afin de lutter plus efficacement contre le phénomène de la délinquance transfrontalière’’.
Le Comité aura aussi la possibilité de faire ‘’des recommandations sur la gouvernance et la réforme du secteur de sécurité dans les Etats membres’’, note le même document.
Dans le domaine de l’assistance aux opérations de soutien à la paix, ‘’il formule des recommandations en ce qui concerne la structure, la composition, l’équipement et le concept d’emploi de la composante police/gendarmerie de la FAC (Force en attente de la CEDEAO), l’identification des personnels, ainsi que la formation requise pour déploiement’’.
La formulation de recommandations en ce qui concerne ‘’le renforcement, au niveau stratégique, des capacités de planification des missions’’, et de celles ‘’relatives à l’évaluation des opérations de soutien à la paix (OSP) en cours’’ devraient aussi figurer au nombre de ses compétences.
Concernant la Force en attente de la CEDEAO, le comité pourrait être ‘’chargé’’ entre autres tâches de faire ’’l’évaluation du système de communication utilisé par les forces de police et de gendarmerie’’ et ‘’la participation à l’organisation de l’entraînement de la FAC et à l’évaluation de sa capacité à exécuter ses missions’’.
Le CCSS sera composé des chefs de police et des directeurs généraux et commandants de gendarmerie des Etats membres de la communauté.
En cas de besoin, et selon les matières inscrites à l’ordre du jour, le comité est élargi aux chefs des autres services tels que ceux de l’immigration, des douanes, de la lutte contre la drogue et les stupéfiants, de la sécurité aux frontières et de la Protection civile, ou des chefs d’Etat-major des armées des Etats membres de la CEDEAO.
Le comité se réunit une fois par semestre et à chaque fois que de besoin. L’idée de sa création a été lancée en juillet dernier.
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