« Thomas Nsoukpoé, un candidat indépendant à l’élection présidentielle togolaise a cessé de s’alimenter depuis lundi et il poursuivra sa grève de la faim jusqu’au 15 janvier 2010, date de clôture des dossiers de candidature », indique le site officiel du gouvernement consulté par Ouestafnews.
« M. Nsoukpoé demande au gouvernement de baisser le montant de la caution fixée à 20 millions CFA, non remboursable si l’on n’obtient pas au moins 5% des suffrages », explique la même source.
« Il exige aussi une candidature unique de l’opposition pour faire face au candidat du pouvoir RPT (Rassemblement du peuple togolais) », ajoute-t-on de même source, relevant que le gréviste invite les autres candidats de l’opposition à se joindre à lui.
Le mode scrutin à un tour en vigueur au Togo constitue la principale pomme de discorde entre le pouvoir et l’opposition qui réclame un scrutin à deux tours.
Le médiateur de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao), le président du Burkina Faso, avait proposé le maintien du scrutin à un tour pour cette élection. Une proposition qui n’agrée pas l’opposition qui l’a rejetée.
Le scrutin du 28 février préoccupe l’ONU et la Cedeao qui ont envoyé en début de semaine une délégation commune à Lomé pour évoquer le processus électoral. Les deux institutions souhaitent une élection « libre, transparente et crédible », selon la presse togolaise.
« M. Nsoukpoé demande au gouvernement de baisser le montant de la caution fixée à 20 millions CFA, non remboursable si l’on n’obtient pas au moins 5% des suffrages », explique la même source.
« Il exige aussi une candidature unique de l’opposition pour faire face au candidat du pouvoir RPT (Rassemblement du peuple togolais) », ajoute-t-on de même source, relevant que le gréviste invite les autres candidats de l’opposition à se joindre à lui.
Le mode scrutin à un tour en vigueur au Togo constitue la principale pomme de discorde entre le pouvoir et l’opposition qui réclame un scrutin à deux tours.
Le médiateur de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao), le président du Burkina Faso, avait proposé le maintien du scrutin à un tour pour cette élection. Une proposition qui n’agrée pas l’opposition qui l’a rejetée.
Le scrutin du 28 février préoccupe l’ONU et la Cedeao qui ont envoyé en début de semaine une délégation commune à Lomé pour évoquer le processus électoral. Les deux institutions souhaitent une élection « libre, transparente et crédible », selon la presse togolaise.
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