La décision a été annoncée lors d’un sommet tenu le 17 mars dans la capitale burkinabé, selon une déclaration dont Ouestafnews à obtenu copie.
Ce drapeau, selon la déclaration, sera déployé dans chacun des « Etats, aux côtés du drapeau national ».
Le document ne fournit aucune date quant à l’entrée en vigueur effective de cette mesure.
La création de ce drapeau et de cet hymne entre dans le cadre d’un plan d’action qui comprend également la mise en place d’un visa unique dans l’espace communautaire « à l’horizon 2011 » ainsi que plusieurs autres mesure visant à renforcer la politique d’intégration en Afrique de l’ouest et à la mieux faire accepter par les populations.
Jusque là, les politiques d’intégration en Afrique et les organisations chargées de les mettre en œuvre souffrent d’une perception populaire qui les assimile souvent à des « clubs » de chefs d’Etat, à des rassemblements de « bureaucrates » ou encore à des lieux privilégiés pour faire des « déclarations de bonnes intentions ».
Ces accusations se fondent souvent sur la difficulté qu’éprouvent les citoyens de circuler sans contraintes, harcèlements ou tracasseries d’un pays à l’autre.
En ce qui concerne l’UEMOA, qui regroupe 7 pays francophones (tous anciennes colonies françaises) auxquels s’est ajouté la Guinée Bissau, ces accusations s’accompagnent d’une suspicion auprès des élites africaines qui estiment que l’Union sert les intérêts de la France plutôt que celui des Africains.
Selon ses critiques, l ’UEMOA, a été créée dans le seul but de freiner le leadership régional du Nigeria au sein de l’espace plus grand que représente la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) , qui regroupe la totalité des 15 pays d’Afrique de l’ouest, qu’il soient francophones, anglophones ou lusophones.
Ce drapeau, selon la déclaration, sera déployé dans chacun des « Etats, aux côtés du drapeau national ».
Le document ne fournit aucune date quant à l’entrée en vigueur effective de cette mesure.
La création de ce drapeau et de cet hymne entre dans le cadre d’un plan d’action qui comprend également la mise en place d’un visa unique dans l’espace communautaire « à l’horizon 2011 » ainsi que plusieurs autres mesure visant à renforcer la politique d’intégration en Afrique de l’ouest et à la mieux faire accepter par les populations.
Jusque là, les politiques d’intégration en Afrique et les organisations chargées de les mettre en œuvre souffrent d’une perception populaire qui les assimile souvent à des « clubs » de chefs d’Etat, à des rassemblements de « bureaucrates » ou encore à des lieux privilégiés pour faire des « déclarations de bonnes intentions ».
Ces accusations se fondent souvent sur la difficulté qu’éprouvent les citoyens de circuler sans contraintes, harcèlements ou tracasseries d’un pays à l’autre.
En ce qui concerne l’UEMOA, qui regroupe 7 pays francophones (tous anciennes colonies françaises) auxquels s’est ajouté la Guinée Bissau, ces accusations s’accompagnent d’une suspicion auprès des élites africaines qui estiment que l’Union sert les intérêts de la France plutôt que celui des Africains.
Selon ses critiques, l ’UEMOA, a été créée dans le seul but de freiner le leadership régional du Nigeria au sein de l’espace plus grand que représente la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) , qui regroupe la totalité des 15 pays d’Afrique de l’ouest, qu’il soient francophones, anglophones ou lusophones.