Ouestafnews – Au Burkina Faso, les universités de Ouaga I et Ouaga II ont été fermées le 27 juin 2008, suite aux échauffourées qui ont opposé forces de l’ordre et étudiants.
Raison de cette grève ? Tout est parti d’une marche à priori « pacifique » d’étudiants sur la présidence de l’Université pour exiger la satisfaction de leur plateforme revendicative dans laquelle ils réclamaient: des locaux et du matériel didactique moderne et un système d’encadrement d’évaluation digne d’une université moderne !
La marche interdite par les autorités universitaires qui conduit à l’appel des Forces de l’Ordre pour veiller sur la présidence de l’Université de Ouagadougou. Jusqu’à présent, l’issue de l’année académique reste incertaine.
Dès les premiers jours de la rentrée 2008, les étudiants se faisaient à nouveau entendre.
En côte d’Ivoire voisine, à l’Université de Bouaké, les cours ont été arrêtés, en août dernier, par les étudiants qui dénoncent le manque de bourses, de logements, de restaurants, de bus…
Les mêmes revendications ont fait qu’au Sénégal, les étudiants de la Faculté des lettres et sciences humaines de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar ont été contraints cette année de passer une session unique d’examen en octobre au lieu des deux prévues.
Même constat à l’Université Gamal Abdel Nasser de Conakry, plongée dans une crise qui perdure depuis une quinzaine d’années.
On pourrait continuer ainsi à citer les universités une à une et les revendications à la pelle, très peu pour ne pas dire aucune n’échapperait à la règle.
Raison de cette grève ? Tout est parti d’une marche à priori « pacifique » d’étudiants sur la présidence de l’Université pour exiger la satisfaction de leur plateforme revendicative dans laquelle ils réclamaient: des locaux et du matériel didactique moderne et un système d’encadrement d’évaluation digne d’une université moderne !
La marche interdite par les autorités universitaires qui conduit à l’appel des Forces de l’Ordre pour veiller sur la présidence de l’Université de Ouagadougou. Jusqu’à présent, l’issue de l’année académique reste incertaine.
Dès les premiers jours de la rentrée 2008, les étudiants se faisaient à nouveau entendre.
En côte d’Ivoire voisine, à l’Université de Bouaké, les cours ont été arrêtés, en août dernier, par les étudiants qui dénoncent le manque de bourses, de logements, de restaurants, de bus…
Les mêmes revendications ont fait qu’au Sénégal, les étudiants de la Faculté des lettres et sciences humaines de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar ont été contraints cette année de passer une session unique d’examen en octobre au lieu des deux prévues.
Même constat à l’Université Gamal Abdel Nasser de Conakry, plongée dans une crise qui perdure depuis une quinzaine d’années.
On pourrait continuer ainsi à citer les universités une à une et les revendications à la pelle, très peu pour ne pas dire aucune n’échapperait à la règle.
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