Cette manifestation biannuelle, cherchera à poser la réflexion sur la planification autour du ”renforcement des capacités” pour les Etats membres de l’Union africaine, indique le ministère sud-africain de la Fonction publique, maître d’œuvre de la rencontre, dans un communiqué transmis à Ouestafnews.
La rencontre est organisée alors que dans la grande majorité des Etats africains, la qualité du service public laisse à désirer, là où il existe encore.
S’il n’est pas confronté au manque criard de moyens et de rigueur professionnelle, ce service public est souvent miné par la corruption, la politisation des recrutements ou encore le népotisme.
Ces mêmes carences se retrouvent parfois dans les organisations sous régionales et continentales mises en place sur le continent.
La rencontre offrira aux ministres africains en charge de la Fonction publique l’occasion ”d’échanger des idées et de partager des expériences sur les questions de la gouvernance, d’évaluer les processus de transformation en cours dans la fonction public et de déterminer les meilleures interventions pour aboutir à l’excellence dans la délivrance des services dans les Etats membres de l’Union africaine”, précise la même source.
La conférence a pour but ”d’établir la confiance aux initiatives en cours à travers le continent pour booster le développement, d’aborder le sous-développement et la pauvreté et de promouvoir la bonne gouvernance à travers le continent”.
Parmi les initiatives destinées à développer le service public africain, il y a le développement et la révision de la Charte du service public en préparation pour son adoption par l’Union africaine.
La Charte cherche à promouvoir l’adhésion aux principes et valeurs pour une réponse efficace aux besoins de la communauté, à encourager les Etats membres dans leurs efforts pour moderniser et renforcer leurs aptitudes à améliorer la délivrance du service public. Elle a également pour but de promouvoir l’obligation de rendre compte, l’égalité entre les genres, ainsi que d’encourager l’échange d’expériences et de bonnes pratiques entres les Etats.
Une fois adoptée par l’Union africaine, la Charte devra mettre en relation les administrés et les administrations tout en garantissant un objectif commun dans l’administration et la distribution équitable des ressources.
La rencontre est organisée alors que dans la grande majorité des Etats africains, la qualité du service public laisse à désirer, là où il existe encore.
S’il n’est pas confronté au manque criard de moyens et de rigueur professionnelle, ce service public est souvent miné par la corruption, la politisation des recrutements ou encore le népotisme.
Ces mêmes carences se retrouvent parfois dans les organisations sous régionales et continentales mises en place sur le continent.
La rencontre offrira aux ministres africains en charge de la Fonction publique l’occasion ”d’échanger des idées et de partager des expériences sur les questions de la gouvernance, d’évaluer les processus de transformation en cours dans la fonction public et de déterminer les meilleures interventions pour aboutir à l’excellence dans la délivrance des services dans les Etats membres de l’Union africaine”, précise la même source.
La conférence a pour but ”d’établir la confiance aux initiatives en cours à travers le continent pour booster le développement, d’aborder le sous-développement et la pauvreté et de promouvoir la bonne gouvernance à travers le continent”.
Parmi les initiatives destinées à développer le service public africain, il y a le développement et la révision de la Charte du service public en préparation pour son adoption par l’Union africaine.
La Charte cherche à promouvoir l’adhésion aux principes et valeurs pour une réponse efficace aux besoins de la communauté, à encourager les Etats membres dans leurs efforts pour moderniser et renforcer leurs aptitudes à améliorer la délivrance du service public. Elle a également pour but de promouvoir l’obligation de rendre compte, l’égalité entre les genres, ainsi que d’encourager l’échange d’expériences et de bonnes pratiques entres les Etats.
Une fois adoptée par l’Union africaine, la Charte devra mettre en relation les administrés et les administrations tout en garantissant un objectif commun dans l’administration et la distribution équitable des ressources.
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