Les organisateurs, qui mettent en jeu un total de six prix (trois en éducation, trois en agriculture) doté chacun de 5000 dollars (environ 2,4 millions FCFA), ont initié des campagnes de vulgarisation du programme "changemakers" dans plusieurs pays d’Afrique (dont le Ghana, le Mali et le Sénégal en Afrique de l’Ouest) pour faire connaître la compétition, ont indiqué des responsables d’Ashoka lors d’une conférence de presse à Dakar.
« Ces compétitions sont ouvertes à tout le monde (…) aux groupes comme aux individus », a expliqué Marie Ka, chargée de la communication du programme « changemakers» au Sénégal soulignant que les candidats peuvent postuler eux-mêmes directement comme ils peuvent être « nominés » par des tiers.
L’idée de « Changemakers » a commencé « en 1994 sous forme de journal » avant de devenir une plateforme en ligne ouverte à tous, a expliqué Tyler Ahn, Directrice des compétitions d’Ashoka présente à Dakar dans le cadre d’une tournée africaine pour mieux faire connaître le programme sur le continent.
L’un des objectifs de ce programme est « d’établir un lien entre entrepreneurs sociaux et entrepreneurs d’affaires », a-t-elle expliqué.
Au delà du prix, la participation aux compétitions offre aux innovateurs une ouverture plus grande, en leur permettant d’exposer leurs idées au reste du monde et en créant un « dialogue » permanent autour de ces idées, a expliqué Coumba Touré responsable du bureau régional d’Ashoka Sahel, basé à Dakar.
Dans plusieurs des pays africains, où environ 70 % de la population est active dans l’agriculture et vit dans le monde rural, l’accès à l’internet pourrait constituer un des grands obstacles à la popularisation auprès des communautés à la base, les candidatures à la compétition étant reçues exclusivement via internet.
Toutefois, les initiateurs estiment que le téléphone portable, les radios communautaires, très répandues en Afrique ainsi que les associations, les réseaux, le bouche-à-oreille et la stratégie de la « nomination par des tiers » pourraient aider à palier ce problème.
« J’ai rencontré un candidat à 30 km de Kampala (Ouganda) qui n’avait pas accès à l’électricité mais qui était au courant de la compétition », a témoigné Tyler Ahn.
Ouverte jusqu’à la mi-mai, les candidatures aux deux compétitions sont reçues directement sur le site www.changemakers.net.
« Ces compétitions sont ouvertes à tout le monde (…) aux groupes comme aux individus », a expliqué Marie Ka, chargée de la communication du programme « changemakers» au Sénégal soulignant que les candidats peuvent postuler eux-mêmes directement comme ils peuvent être « nominés » par des tiers.
L’idée de « Changemakers » a commencé « en 1994 sous forme de journal » avant de devenir une plateforme en ligne ouverte à tous, a expliqué Tyler Ahn, Directrice des compétitions d’Ashoka présente à Dakar dans le cadre d’une tournée africaine pour mieux faire connaître le programme sur le continent.
L’un des objectifs de ce programme est « d’établir un lien entre entrepreneurs sociaux et entrepreneurs d’affaires », a-t-elle expliqué.
Au delà du prix, la participation aux compétitions offre aux innovateurs une ouverture plus grande, en leur permettant d’exposer leurs idées au reste du monde et en créant un « dialogue » permanent autour de ces idées, a expliqué Coumba Touré responsable du bureau régional d’Ashoka Sahel, basé à Dakar.
Dans plusieurs des pays africains, où environ 70 % de la population est active dans l’agriculture et vit dans le monde rural, l’accès à l’internet pourrait constituer un des grands obstacles à la popularisation auprès des communautés à la base, les candidatures à la compétition étant reçues exclusivement via internet.
Toutefois, les initiateurs estiment que le téléphone portable, les radios communautaires, très répandues en Afrique ainsi que les associations, les réseaux, le bouche-à-oreille et la stratégie de la « nomination par des tiers » pourraient aider à palier ce problème.
« J’ai rencontré un candidat à 30 km de Kampala (Ouganda) qui n’avait pas accès à l’électricité mais qui était au courant de la compétition », a témoigné Tyler Ahn.
Ouverte jusqu’à la mi-mai, les candidatures aux deux compétitions sont reçues directement sur le site www.changemakers.net.
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