Ces célébrations qui vont débuter le 1er octobre par diverses manifestations vont culminer dans la période du 11 au 16 octobre à Ouagadougou, où se tiendront, entre autres, un "Symposium international sur la Pensée et l’Action du Président Thomas Sankara" ainsi qu’un "méga concert".
Arrivé très jeune au pouvoir qu’il n’a gardé que pendant quatre ans, avant d’être tué lors d’un coup d’Etat dirigé par l’actuel président Blaise Compaoré, Thomas Sankara est resté une idole pour les peuples du Burkina Faso et d’Afrique en général.
Homme vertueux et aux idées généreuses, il avait pris le pouvoir le 4 août 1987 suite à un coup d’Etat militaire et lancé sa révolution en faveur "des masses populaires".
Par une série de réformes audacieuses, il avait insufflé un nouvelle vision et un nouvel espoir à la jeunesse africaine.
Ses biographes le classent dans la lignée des grands leaders panafricanistes tel que le Congolais (RDC) Patrice Lumumba, le Cap-verdien Amilcar ou encore le ghanéen Kwame Nkrumah.
Dans un de ses discours restés les plus mémorables prononcés quelques mois seulement avant son assassinat, le 29 juillet 1987 à Addis Abeba lors d’un sommet de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA, actuelle Union africaine) , Thomas Sankara avait -avec une foirte conviction mais sans manquer d’humour – appelé ses pairs à lancer un "Club d’Addis" pour contrer les clubs de Rome, Paris, Londres, etc, afin d’exiger l’effacement de la dette du continent.
Né en 1949 et militaire de formation, son charisme, ses idées panafricanistes ainsi que son action à la tête du Burkina, avaient fini de faire de lui un homme politique accompli.
Ses admirateurs voient en lui le père incontestable du Burkina Faso (pays des hommes intègres), appellation qu’il avait préféré à la "Haute Volta", d’origine coloniale.
Arrivé très jeune au pouvoir qu’il n’a gardé que pendant quatre ans, avant d’être tué lors d’un coup d’Etat dirigé par l’actuel président Blaise Compaoré, Thomas Sankara est resté une idole pour les peuples du Burkina Faso et d’Afrique en général.
Homme vertueux et aux idées généreuses, il avait pris le pouvoir le 4 août 1987 suite à un coup d’Etat militaire et lancé sa révolution en faveur "des masses populaires".
Par une série de réformes audacieuses, il avait insufflé un nouvelle vision et un nouvel espoir à la jeunesse africaine.
Ses biographes le classent dans la lignée des grands leaders panafricanistes tel que le Congolais (RDC) Patrice Lumumba, le Cap-verdien Amilcar ou encore le ghanéen Kwame Nkrumah.
Dans un de ses discours restés les plus mémorables prononcés quelques mois seulement avant son assassinat, le 29 juillet 1987 à Addis Abeba lors d’un sommet de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA, actuelle Union africaine) , Thomas Sankara avait -avec une foirte conviction mais sans manquer d’humour – appelé ses pairs à lancer un "Club d’Addis" pour contrer les clubs de Rome, Paris, Londres, etc, afin d’exiger l’effacement de la dette du continent.
Né en 1949 et militaire de formation, son charisme, ses idées panafricanistes ainsi que son action à la tête du Burkina, avaient fini de faire de lui un homme politique accompli.
Ses admirateurs voient en lui le père incontestable du Burkina Faso (pays des hommes intègres), appellation qu’il avait préféré à la "Haute Volta", d’origine coloniale.
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