Par Ouestafnews
Les forces de sécurité ghanéennes ont été invitées à renforcer les mesures de sécurité à leur frontière pour prévenir l’entrée du diamant en provenance de la Côte d’Ivoire, a appris Ouestafnews de source autorisée.
Selon George Asante,vice-directeur général de la Precious Mineral Marketing Company, le diamant ivoirien ”n’est plus accepté” par le Processus de certification de Kimberly, une méthode certification internationale qui régule le commerce du diamant brut, rapporte la Ghana News Agency (GNA, officielle).
L’objectif de cette certification est de s’assurer que des diamants en provenance des zones de conflits n’accèdent pas au marché international.
La communauté internationale s’est engagée à bannir les diamants en provenance des zones de conflit, estimant qu’ils sont une source de financement pour les mouvements de rébellion.
Citant un rapport des Nations unies, M. Asante, a indiqué que le Ghana a été accusé d’avoir servi de point de passage du diamant exploité dans les zones rebelles en Côte d’Ivoire. Il a ajouté que le Ghana, qui a lancé un programme de sensibilisation, suite à cette accusation, était sur le point de perdre sa certification, à cause de sa proximité avec la Côte d’Ivoire.
Une commission mixte composée des agents de douanes, des officiers de l’immigration, des sociétés minières, entre autres, a été mise en place pour prévenir l’entrée du diamant ivoirien sur le territoire ghanéen.
Selon George Asante,vice-directeur général de la Precious Mineral Marketing Company, le diamant ivoirien ”n’est plus accepté” par le Processus de certification de Kimberly, une méthode certification internationale qui régule le commerce du diamant brut, rapporte la Ghana News Agency (GNA, officielle).
L’objectif de cette certification est de s’assurer que des diamants en provenance des zones de conflits n’accèdent pas au marché international.
La communauté internationale s’est engagée à bannir les diamants en provenance des zones de conflit, estimant qu’ils sont une source de financement pour les mouvements de rébellion.
Citant un rapport des Nations unies, M. Asante, a indiqué que le Ghana a été accusé d’avoir servi de point de passage du diamant exploité dans les zones rebelles en Côte d’Ivoire. Il a ajouté que le Ghana, qui a lancé un programme de sensibilisation, suite à cette accusation, était sur le point de perdre sa certification, à cause de sa proximité avec la Côte d’Ivoire.
Une commission mixte composée des agents de douanes, des officiers de l’immigration, des sociétés minières, entre autres, a été mise en place pour prévenir l’entrée du diamant ivoirien sur le territoire ghanéen.
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