En 2012, la production a atteint 50 tonnes, soit 46 tonnes industrielles et 4 artisanales, selon le dernier numéro du magazine panafricain Jeune Afrique (J.A, basé à Paris).
En dépit de la suspension du plan d’expansion de 500 millions de dollars de l’entreprise Anglogold Ashanti, prévu sur la mine de Sadiola (ouest), l’Etat malien prévoit selon Jeune Afrique, une production totale de 57 tonnes pour 2013 dont 53 tonnes industrielles.
Lors de récents entretiens avec Ouestafnews, les responsables des entreprises minières présentes au Mali affirmaient que la crise au nord n’affectait pas leurs activités.
Selon le PDG de Randgold Mark Bristow, aucune menace ne pèse pour l’instant sur leurs activités du fait de la « bonne collaboration avec les autorités maliennes, et à tous les niveaux ».
L’autre facteur important est l’éloignement des mines de la zone de conflit, les zones aurifères étant pour la plupart essentiellement situées à l’ouest du pays.
En mars 2012, le Mali a connu un coup d’Etat militaire et une occupation de sa partie nord par des groupes armés. Depuis la mi-janvier 2013 une guerre est livrée contre ces occupants sous la direction de l’armée française soutenue par des troupes africaines.
En août 2012, alors que le Mali était en pleine crise, la compagnie minière Randgold avait même procédé à l’inauguration de la mine de Loulo-Gounkoto (ouest), dont elle détient 80% des parts contre 20 % pour l’Etat malien.
En dépit de la suspension du plan d’expansion de 500 millions de dollars de l’entreprise Anglogold Ashanti, prévu sur la mine de Sadiola (ouest), l’Etat malien prévoit selon Jeune Afrique, une production totale de 57 tonnes pour 2013 dont 53 tonnes industrielles.
Lors de récents entretiens avec Ouestafnews, les responsables des entreprises minières présentes au Mali affirmaient que la crise au nord n’affectait pas leurs activités.
Selon le PDG de Randgold Mark Bristow, aucune menace ne pèse pour l’instant sur leurs activités du fait de la « bonne collaboration avec les autorités maliennes, et à tous les niveaux ».
L’autre facteur important est l’éloignement des mines de la zone de conflit, les zones aurifères étant pour la plupart essentiellement situées à l’ouest du pays.
En mars 2012, le Mali a connu un coup d’Etat militaire et une occupation de sa partie nord par des groupes armés. Depuis la mi-janvier 2013 une guerre est livrée contre ces occupants sous la direction de l’armée française soutenue par des troupes africaines.
En août 2012, alors que le Mali était en pleine crise, la compagnie minière Randgold avait même procédé à l’inauguration de la mine de Loulo-Gounkoto (ouest), dont elle détient 80% des parts contre 20 % pour l’Etat malien.
Le Mali est le 3ème producteur d’or du continent derrière le Ghana et l’Afrique du Sud. L’or représente 70 % des recettes d’exportations.
Lire aussi:
Le Mali, en guerre business as usual pour les miniers
l’Afrique de l’ouest, avenir du secteur minier
Voulez-vous réagir à cet article ou nous signaler une erreur ? Envoyez-nous un message à info(at)ouestaf.com.