"Le SITRAO (12 – 15 mars) entend ouvrir le débat sur la problématique des transports au Mali et dans la sous-région. Il s’agit de donner au secteur toute sa visibilité afin qu’il joue un rôle moteur dans le développement économique en Afrique à travers la création d’emplois et de valeurs ajoutées’’, a confié le ministre malien de l’Equipement et des Transports, Hamed Diané Sémega au quotidien burkinabé Sidwaya.
‘’La première édition sera une vitrine de dialogue entre professionnels des transports, l’administration et les organisations sous régionales (UEMOA en l’occurrence) sur la situation du secteur des transports, les enjeux et les perspectives de son développement’’, a expliqué M. Sémega.
‘’La visibilité des acteurs est une nécessité pour permettre à chacun de mesurer l’impact du transport sur les dynamiques économiques’’, a affirmé M. Sémega, arguant qu’il faut ‘’vaincre le handicap de l’enclavement’’.
Le ministre malien de l’Equipement et des Transports, en mission de sensibilisation sur cet évènement au Burkina Faso, estime que le SITRAO, ‘’est un cadre d’expérience partagée’’, avant d’ajouter : ‘’l’intégration économique n’a de sens que si elle se matérialise au-delà du discours par la fluidité du transport inter-Etats’’.
Plusieurs modules seront animés au cours du SITRAO. Il y a entre autres, ports et pays enclavés, sécurité routière et facilitation des transports en Afrique de l’Ouest, transports fluviaux et désenclavement, mobilité rurale et moyens intermédiaires de transport, rapporte le quotidien gouvernemental burkinabè.
L’essentiel des voisins ouest africains du Mali (la Côte d’Ivoire, la Mauritanie, le Sénégal, la Guinée Conakry, le Niger, le Togo, le Ghana sont invités à ce salon ainsi qu’un pays d’Afrique du nord l’Algérie avec lequel le Mali partage une frontière.
‘’La première édition sera une vitrine de dialogue entre professionnels des transports, l’administration et les organisations sous régionales (UEMOA en l’occurrence) sur la situation du secteur des transports, les enjeux et les perspectives de son développement’’, a expliqué M. Sémega.
‘’La visibilité des acteurs est une nécessité pour permettre à chacun de mesurer l’impact du transport sur les dynamiques économiques’’, a affirmé M. Sémega, arguant qu’il faut ‘’vaincre le handicap de l’enclavement’’.
Le ministre malien de l’Equipement et des Transports, en mission de sensibilisation sur cet évènement au Burkina Faso, estime que le SITRAO, ‘’est un cadre d’expérience partagée’’, avant d’ajouter : ‘’l’intégration économique n’a de sens que si elle se matérialise au-delà du discours par la fluidité du transport inter-Etats’’.
Plusieurs modules seront animés au cours du SITRAO. Il y a entre autres, ports et pays enclavés, sécurité routière et facilitation des transports en Afrique de l’Ouest, transports fluviaux et désenclavement, mobilité rurale et moyens intermédiaires de transport, rapporte le quotidien gouvernemental burkinabè.
L’essentiel des voisins ouest africains du Mali (la Côte d’Ivoire, la Mauritanie, le Sénégal, la Guinée Conakry, le Niger, le Togo, le Ghana sont invités à ce salon ainsi qu’un pays d’Afrique du nord l’Algérie avec lequel le Mali partage une frontière.
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