”Nous savons simplement qu’il faut rétablir l’ordre constitutionnel. Ça ce sont les principes de base. A partir de là, nous devons voir comment y parvenir”, a dit M. Ping qui répondait à une question sur la bonne sortie de crise pour la Mauritanie.
”Nous sommes en train de voir avec tout le monde la solution qui conviendrait pour revenir le plus rapidement possible à cet ordre”, a expliqué Jean Ping interrogé par Radio France Internationale (RFI).
”Nous fournirons des demandes. Ce ne sont pas des demandes que nous pouvons communiquer à tout le monde, elles s’adressent à ceux qui prennent des décisions”, a ajouté l’ancien ministre gabonais des Affaires étrangères du Gabon, qui séjourne en Mauritanie.
Il y a déjà rencontré les représentants des partis politiques et de la société civile. Jean Ping a en outre demandé à la junte au pouvoir, de pouvoir rencontrer le président déchu.
Le Haut Conseil d’Etat (HCE, une junte militaire) présidé par le Général Mouhamed Ould Abdel Aziz, a pris le pouvoir en Mauritanie, le 6 août, mettant fin au régime de Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, le président démocratiquement élu.
Le coup d’Etat a déjà été condamné de manière unanime par la communauté internationale. L’Union Africaine, l’Union Européenne et les Etats-Unis notamment demandent le retour à l’ordre constitutionnel, incarné par le président déchu Ould Cheikh Abdallahi.
Ce dernier a été arrêté tôt le matin du 6 août en même temps que son premier ministre Yahya Ould Ahmed El Waghf, peu après l’annonce du limogeage de 4 officiers supérieurs, dont son tombeur.
Elu en 2007, Le président déchu était le premier leader mauritanien à accéder au pouvoir par les urnes en trois décennies, la Mauritanie ayant connu une succession de coup d’Etats militaires entre 1978 et 2008.
”Nous sommes en train de voir avec tout le monde la solution qui conviendrait pour revenir le plus rapidement possible à cet ordre”, a expliqué Jean Ping interrogé par Radio France Internationale (RFI).
”Nous fournirons des demandes. Ce ne sont pas des demandes que nous pouvons communiquer à tout le monde, elles s’adressent à ceux qui prennent des décisions”, a ajouté l’ancien ministre gabonais des Affaires étrangères du Gabon, qui séjourne en Mauritanie.
Il y a déjà rencontré les représentants des partis politiques et de la société civile. Jean Ping a en outre demandé à la junte au pouvoir, de pouvoir rencontrer le président déchu.
Le Haut Conseil d’Etat (HCE, une junte militaire) présidé par le Général Mouhamed Ould Abdel Aziz, a pris le pouvoir en Mauritanie, le 6 août, mettant fin au régime de Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, le président démocratiquement élu.
Le coup d’Etat a déjà été condamné de manière unanime par la communauté internationale. L’Union Africaine, l’Union Européenne et les Etats-Unis notamment demandent le retour à l’ordre constitutionnel, incarné par le président déchu Ould Cheikh Abdallahi.
Ce dernier a été arrêté tôt le matin du 6 août en même temps que son premier ministre Yahya Ould Ahmed El Waghf, peu après l’annonce du limogeage de 4 officiers supérieurs, dont son tombeur.
Elu en 2007, Le président déchu était le premier leader mauritanien à accéder au pouvoir par les urnes en trois décennies, la Mauritanie ayant connu une succession de coup d’Etats militaires entre 1978 et 2008.
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