A l’occasion d’une visite en Mauritanie — le deuxième depuis février — six entreprises chinoises ont confirmé leur projet d’implantation dans le pays pour un « investissement global de 12 millions de dollars », rapporte le magazine panafricain Jeune Afrique lu à Ouestafnews.
Venus de secteurs très divers, elles envisagent de financer des projets dans l’agriculture, l’énergie, la distribution, l’immobilier et les infrastructures hospitalières, selon l’hebdomadaire basé à Paris.
Au niveau commercial, le niveau des échanges connaît un développement important, la Chine étant devenue au fil des années le principal pays d’approvisionnement du marché mauritanien en produits de tous genres.
Les relations économiques entres les deux pays ont connu un développement important ces dernières années, avec un volume des échanges commerciaux qui a atteint 700 millions de dollars en 2007, selon les chiffres officiels.
Des experts agricoles chinois sont déjà présents au niveau de la plaine rizicole de M’Pourié à Rosso (250 km au Sud de Nouakchott).
Dans le domaine de l’énergie, notamment du pétrole, une société chinoise, la CNPC, a signé des contrats de prospection dans trois blocs en Mauritanie dont l’un au littoral et les deux autres dans le Bassin de Taoudeni, zone qui couvre le Sud et l’Est de la Mauritanie.
Un contrat de vente d’environ 1,5 million de tonnes de minerai de fer par an, sur une période de 7 ans, a été signé entre la Société nationale industrielle et minière (SNIM) de Mauritanie et la société chinoise China Minmetals Corporation.
En février un autre accord avait été signé par Pékin et Nouakchott portant sur un montant global de 100 millions de dollars US (environ 52 milliards FCFA à l’époque).
L’accord avait été paraphé par Sidi Ould Tah, ministre mauritanien des Affaires économiques et du développement et Haijun Zhang, vice-président de la Commission de l’industrie alimentaire et de la haute science-technique de Chine.
Divers projets d’infrastructures socio-économiques à Nouakchott et dans d’autres villes mauritaniennes devaient être réalisés dans le cadre de cet accord de coopération.
Venus de secteurs très divers, elles envisagent de financer des projets dans l’agriculture, l’énergie, la distribution, l’immobilier et les infrastructures hospitalières, selon l’hebdomadaire basé à Paris.
Au niveau commercial, le niveau des échanges connaît un développement important, la Chine étant devenue au fil des années le principal pays d’approvisionnement du marché mauritanien en produits de tous genres.
Les relations économiques entres les deux pays ont connu un développement important ces dernières années, avec un volume des échanges commerciaux qui a atteint 700 millions de dollars en 2007, selon les chiffres officiels.
Des experts agricoles chinois sont déjà présents au niveau de la plaine rizicole de M’Pourié à Rosso (250 km au Sud de Nouakchott).
Dans le domaine de l’énergie, notamment du pétrole, une société chinoise, la CNPC, a signé des contrats de prospection dans trois blocs en Mauritanie dont l’un au littoral et les deux autres dans le Bassin de Taoudeni, zone qui couvre le Sud et l’Est de la Mauritanie.
Un contrat de vente d’environ 1,5 million de tonnes de minerai de fer par an, sur une période de 7 ans, a été signé entre la Société nationale industrielle et minière (SNIM) de Mauritanie et la société chinoise China Minmetals Corporation.
En février un autre accord avait été signé par Pékin et Nouakchott portant sur un montant global de 100 millions de dollars US (environ 52 milliards FCFA à l’époque).
L’accord avait été paraphé par Sidi Ould Tah, ministre mauritanien des Affaires économiques et du développement et Haijun Zhang, vice-président de la Commission de l’industrie alimentaire et de la haute science-technique de Chine.
Divers projets d’infrastructures socio-économiques à Nouakchott et dans d’autres villes mauritaniennes devaient être réalisés dans le cadre de cet accord de coopération.
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