La décision a été prise lors d’une session du Conseil permanent de l’OIF, présidée par Abdou Diouf secrétaire général de l’OIF et réunie le 10 juillet à Paris, en présence des représentants personnels des chefs d’Etat et de gouvernement, selon un communiqué de l’organisation transmise à Ouestafnews.
L’OIF a également annoncé lors de la même réunion l’envoi dans les prochains jours d’une « importante mission d’observation » à l’occasion du premier tour, le 18 juillet prochain, de l’élection présidentielle prévue par l’Accord-cadre de Dakar, signé le 2 juin pour permettre à la Mauritanie de sortir de la crise.
Cette mission, dirigée par l’ancien Président du Burundi, Pierre Buyoya, est composée de 45 personnalités issues de l’espace francophone.
Elle sera déployée dans l’ensemble du pays et travaillera en coordination avec les observateurs des autres organisations membres du Groupe international de contact sur la Mauritanie, dont l’Union africaine (UA), la Ligue des Etats arabes (LEA) et l’Organisation de la conférence islamique (OCI).
L’OIF maintient sa suspension, alors que l’Union africaine (UA) réunie, au début du mois de juillet à Syrte (Libye) a décidé de lever toutes les sanctions imposées à la Mauritanie suite au coup d’Etat du 6 août 2008.
Pour l’UA l’application de l’accord de Dakar et les mesures prises à cet égard traduisent « un retour à l’ordre constitutionnel ».
Parmi ces mesures figurent la formation d’un gouvernement d’union nationale de transition, la transformation du Haut conseil d’Etat (HCE) en un organe de défense placé sous l’autorité du gouvernement de transition et la décision du président déchu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, de remettre son mandat au peuple mauritanien.
L’OIF a également annoncé lors de la même réunion l’envoi dans les prochains jours d’une « importante mission d’observation » à l’occasion du premier tour, le 18 juillet prochain, de l’élection présidentielle prévue par l’Accord-cadre de Dakar, signé le 2 juin pour permettre à la Mauritanie de sortir de la crise.
Cette mission, dirigée par l’ancien Président du Burundi, Pierre Buyoya, est composée de 45 personnalités issues de l’espace francophone.
Elle sera déployée dans l’ensemble du pays et travaillera en coordination avec les observateurs des autres organisations membres du Groupe international de contact sur la Mauritanie, dont l’Union africaine (UA), la Ligue des Etats arabes (LEA) et l’Organisation de la conférence islamique (OCI).
L’OIF maintient sa suspension, alors que l’Union africaine (UA) réunie, au début du mois de juillet à Syrte (Libye) a décidé de lever toutes les sanctions imposées à la Mauritanie suite au coup d’Etat du 6 août 2008.
Pour l’UA l’application de l’accord de Dakar et les mesures prises à cet égard traduisent « un retour à l’ordre constitutionnel ».
Parmi ces mesures figurent la formation d’un gouvernement d’union nationale de transition, la transformation du Haut conseil d’Etat (HCE) en un organe de défense placé sous l’autorité du gouvernement de transition et la décision du président déchu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, de remettre son mandat au peuple mauritanien.
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