Par Ouestafnews
Au sein de l’UEMOA, ”c’est une approche régionale de gestion de la problématique qui a été préconisée avec une mise en commun des efforts de lutte”, rapporte le quotidien pro-gouvernemental sénégalais Le Soleil rendant compte de la conférence de Dakar sur les médicaments vétérinaires en Afrique.
Il a été ainsi proposé que les pays membres de l’union mettent en place un laboratoire sous-régional, parce que l’outil est jugé très coûteux pour que chaque pays puisse en disposer.
”Le laboratoire est important dans la mise aux normes des médicaments. C’est donc l’ambition d’une gestion concertée et commune du fléau de la circulation des médicaments vétérinaires qui est ainsi affichée”, affirme Le Soleil.
L’organisation mondiale de la santé animale (OIE), qui a initié cette rencontre, a réaffirmé sa ”volonté” d’aider les gouvernements africains à renforcer leurs services vétérinaires et à mener efficacement leurs politiques de prévention et de lutte contre la circulation des médicaments vétérinaires de mauvaise qualité.
L’OIE va ”accompagner les Etats africains dans la recherche de moyens pour mettre en application leurs politiques d’harmonisation et de lutte”, a dit son directeur général le docteur Bernard Vallat.
”Nous sommes conscients de l’importance de l’élevage en Afrique et les maladies animales constituent un frein à son développement. Pour combattre ces maladies, il faut des médicaments et des vaccins alors qu’à ce niveau, il se pose le problème de la qualité”, a souligné M. Vallat.
Selon des statistiques de l’Ecole inter-Etats de médecine vétérinaire (EIV) de Dakar, 65 pour cent des produits vendus en Afrique sont frelatés.
Il a été ainsi proposé que les pays membres de l’union mettent en place un laboratoire sous-régional, parce que l’outil est jugé très coûteux pour que chaque pays puisse en disposer.
”Le laboratoire est important dans la mise aux normes des médicaments. C’est donc l’ambition d’une gestion concertée et commune du fléau de la circulation des médicaments vétérinaires qui est ainsi affichée”, affirme Le Soleil.
L’organisation mondiale de la santé animale (OIE), qui a initié cette rencontre, a réaffirmé sa ”volonté” d’aider les gouvernements africains à renforcer leurs services vétérinaires et à mener efficacement leurs politiques de prévention et de lutte contre la circulation des médicaments vétérinaires de mauvaise qualité.
L’OIE va ”accompagner les Etats africains dans la recherche de moyens pour mettre en application leurs politiques d’harmonisation et de lutte”, a dit son directeur général le docteur Bernard Vallat.
”Nous sommes conscients de l’importance de l’élevage en Afrique et les maladies animales constituent un frein à son développement. Pour combattre ces maladies, il faut des médicaments et des vaccins alors qu’à ce niveau, il se pose le problème de la qualité”, a souligné M. Vallat.
Selon des statistiques de l’Ecole inter-Etats de médecine vétérinaire (EIV) de Dakar, 65 pour cent des produits vendus en Afrique sont frelatés.
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