Avant le Mali, le Niger et la Mauritanie avaient aussi accueilli cette année des exercices militaires similaires dirigées par les forces américaines.
Ces opérations entrent dans le cadre de la lutte contre le terrorisme dans les Etats du Sahel, région qui pour les stratèges américains constituent une zone à risque ou pourraient se concentrer des militants islamistes.
Cette inquiétude américaine s’est encore aggravée lorsque le groupe salafiste (GSPC, algérien) a annoncé sa mutation en branche armée dal-qaeda au Maghreb.
Mais la présence militaire américaine en Afrique s’explique aussi par la course aux ressources naturelles sur le continent, notamment les réserves pétrolières de la région du Golfe de Guinée. Selon les experts, cette région devrait fournir 25 des besoins ne pétrole des Etats-Unis d’ici une quinzaine d’années.
Les exercices en cours à Bamako, qui prennent fin le 6 septembre prochain, visent essentiellement à perfectionner les armées africaines dans la maîtrise des outils de communication dans le cadre d’opérations anti-terroristes.
Outre le Mali, les autres participants proviennent surtout de l’Afrique de l’Ouest (Burkina Faso, Mauritanie, Niger, Nigeria, Sénégal). A ces pays s’ajoutent l’Algérie, la Tunisie et le Tchad.
Depuis les attentats qui avaient visé les ambassades américaines à Dar-es Salaam et à Nairobi en 1998, et surtout depuis les attentats du 11 septembre 2001 aux USA, la présence militaire américaine se renforce de jour en jour sur le continent.
D’ailleurs les Etats-Unis viennent de décider de la création d’un "commandement de l’armée U.S en Afrique", dont le quartier général sera implanté en Afrique même.
Cette pénétration militaire américaine, ne fait pas l’unanimité et certaines voix en Afrique estiment qu’elles pourraient causer plus de problèmes au lieu de contribuer à la paix et à la stabilité sur le continent.
Les Etats-Unis semblent conscients de ces critiques et de plus en plus envoient leurs soldats dans de petites opérations à caractère humanitaire, comme dans le domaine de la santé par exemple.
Ces opérations entrent dans le cadre de la lutte contre le terrorisme dans les Etats du Sahel, région qui pour les stratèges américains constituent une zone à risque ou pourraient se concentrer des militants islamistes.
Cette inquiétude américaine s’est encore aggravée lorsque le groupe salafiste (GSPC, algérien) a annoncé sa mutation en branche armée dal-qaeda au Maghreb.
Mais la présence militaire américaine en Afrique s’explique aussi par la course aux ressources naturelles sur le continent, notamment les réserves pétrolières de la région du Golfe de Guinée. Selon les experts, cette région devrait fournir 25 des besoins ne pétrole des Etats-Unis d’ici une quinzaine d’années.
Les exercices en cours à Bamako, qui prennent fin le 6 septembre prochain, visent essentiellement à perfectionner les armées africaines dans la maîtrise des outils de communication dans le cadre d’opérations anti-terroristes.
Outre le Mali, les autres participants proviennent surtout de l’Afrique de l’Ouest (Burkina Faso, Mauritanie, Niger, Nigeria, Sénégal). A ces pays s’ajoutent l’Algérie, la Tunisie et le Tchad.
Depuis les attentats qui avaient visé les ambassades américaines à Dar-es Salaam et à Nairobi en 1998, et surtout depuis les attentats du 11 septembre 2001 aux USA, la présence militaire américaine se renforce de jour en jour sur le continent.
D’ailleurs les Etats-Unis viennent de décider de la création d’un "commandement de l’armée U.S en Afrique", dont le quartier général sera implanté en Afrique même.
Cette pénétration militaire américaine, ne fait pas l’unanimité et certaines voix en Afrique estiment qu’elles pourraient causer plus de problèmes au lieu de contribuer à la paix et à la stabilité sur le continent.
Les Etats-Unis semblent conscients de ces critiques et de plus en plus envoient leurs soldats dans de petites opérations à caractère humanitaire, comme dans le domaine de la santé par exemple.
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