« Après avis du premier ministre et du président de l’assemblée nationale, le président de la république, son excellence Mamadou Tandja a signé ce jour 26 mai 2009, un décret portant dissolution de l’assemblée nationale », affirme un communiqué très laconique dont Ouestafnews a obtenu une copie.
Le texte est signé de Larwana Ibrahim, secrétaire général du gouvernement.
Cette décision du président Tandja intervient au lendemain de la publication d’un avis de la Cour constitutionnelle du Niger qui lui refuse le pouvoir de soumettre la constitution à référendum pour des modifications devant lui permettre de prolonger son mandat actuel ou de se présenter à un troisième mandat.
Depuis plusieurs mois, le débat politique au Niger est pollué par cette question de prolongation du mandat présidentiel, des partisans du chef de l’Etat menant campagne ouvertement pour qu’il continue d’exercer le pouvoir à l’issue de son deuxième et dernier mandant qui, en principe, arrive à terme à la fin de l’année.
De son côté la société civile bat campagne contre ce projet du régime en place qu’elle juge « anti-démocratique et anticonstitutionnelle.»
Le texte est signé de Larwana Ibrahim, secrétaire général du gouvernement.
Cette décision du président Tandja intervient au lendemain de la publication d’un avis de la Cour constitutionnelle du Niger qui lui refuse le pouvoir de soumettre la constitution à référendum pour des modifications devant lui permettre de prolonger son mandat actuel ou de se présenter à un troisième mandat.
Depuis plusieurs mois, le débat politique au Niger est pollué par cette question de prolongation du mandat présidentiel, des partisans du chef de l’Etat menant campagne ouvertement pour qu’il continue d’exercer le pouvoir à l’issue de son deuxième et dernier mandant qui, en principe, arrive à terme à la fin de l’année.
De son côté la société civile bat campagne contre ce projet du régime en place qu’elle juge « anti-démocratique et anticonstitutionnelle.»