Last Updated on 15/09/2006 by Ouestafnews
Cette évolution positive concerne de manière plus large tous les secteurs des nouvelles technologies de l’information et de la communication, selon des informations fournies par l’UIT.
Cette organisation "constate que des progrès considérables ont été réalisés dans la réduction de la fracture numérique et que 25 des 50 PMA sont parvenus aux objectifs de télédensité fixés dans le Programme d’action de Bruxelles", précise un communiqué de l’organisation parvenu à Ouestafnews.
Le taux de croissance annuel du nombre d’abonnés aux téléphones cellulaires sur la période 2000-2005, dans les pays les moins avancés dépassent de très loin les 100 % dans plusieurs pays, dont certains situés dans la région ouest africaine. Il s’agit du Niger (171%), du Libéria (155%) et du Mali (142%).
Dans les autres régions africaines, les résultats sont tout aussi parlants : Djibouti (186%), République démocratique du Congo (184%), Soudan (139%), Yémen (129%) et République démocratique populaire lao (119%).
Par ailleurs, "la télédensité a plus que doublé dans la majorité des pays les moins avancés depuis 2000, et dans certains cas, la connectivité a pu être multipliée par 20", souligne le rapport expliquant ces avancées par "l’effet de la rapide croissance observée dans le secteur des services mobiles".
Dans ce dernier groupe de nations, la course à l’accès universel a été menée essentiellement par de petits États insulaires en développement tels que le Cap-Vert, les Maldives, au Samoa – et quelques autres pays où l’on a pu relever des télédensités atteignant parfois 44 lignes par centaine d’habitants, "un taux supérieur à celui que présentent bien des pays en développement", souligne l’UIT.
Malgré ces énormes progrès, très peu de pays africains concernés par l’étude affichent des taux d’accès à internet atteignant les 5 %. Même "les meilleurs de la classe" ne font que frôler ce seuil, sans vraiment y toucher.
Dans ce lot d’Etats parvenus à des taux voisins de 5%, on note la présence de trois pays de la sous-région Cap-Vert et Togo (4,9% chacun) et Sénégal (4,6%).
Dans ces pays, l’accès à l’Internet a progressé et l’on s’intéresse de plus en plus à la mise en place de la "large bande" en milieu rural, selon l’UIT.
Cette organisation "constate que des progrès considérables ont été réalisés dans la réduction de la fracture numérique et que 25 des 50 PMA sont parvenus aux objectifs de télédensité fixés dans le Programme d’action de Bruxelles", précise un communiqué de l’organisation parvenu à Ouestafnews.
Le taux de croissance annuel du nombre d’abonnés aux téléphones cellulaires sur la période 2000-2005, dans les pays les moins avancés dépassent de très loin les 100 % dans plusieurs pays, dont certains situés dans la région ouest africaine. Il s’agit du Niger (171%), du Libéria (155%) et du Mali (142%).
Dans les autres régions africaines, les résultats sont tout aussi parlants : Djibouti (186%), République démocratique du Congo (184%), Soudan (139%), Yémen (129%) et République démocratique populaire lao (119%).
Par ailleurs, "la télédensité a plus que doublé dans la majorité des pays les moins avancés depuis 2000, et dans certains cas, la connectivité a pu être multipliée par 20", souligne le rapport expliquant ces avancées par "l’effet de la rapide croissance observée dans le secteur des services mobiles".
Dans ce dernier groupe de nations, la course à l’accès universel a été menée essentiellement par de petits États insulaires en développement tels que le Cap-Vert, les Maldives, au Samoa – et quelques autres pays où l’on a pu relever des télédensités atteignant parfois 44 lignes par centaine d’habitants, "un taux supérieur à celui que présentent bien des pays en développement", souligne l’UIT.
Malgré ces énormes progrès, très peu de pays africains concernés par l’étude affichent des taux d’accès à internet atteignant les 5 %. Même "les meilleurs de la classe" ne font que frôler ce seuil, sans vraiment y toucher.
Dans ce lot d’Etats parvenus à des taux voisins de 5%, on note la présence de trois pays de la sous-région Cap-Vert et Togo (4,9% chacun) et Sénégal (4,6%).
Dans ces pays, l’accès à l’Internet a progressé et l’on s’intéresse de plus en plus à la mise en place de la "large bande" en milieu rural, selon l’UIT.
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