Selon ce responsable, cette estimation du nombre d’emplois perdus a été faite en tenant en compte le fait que les unités ayant fermées sont « toutes des entreprises moyennes, employant environ une centaine de personnes chacune », a souligné Jide Mike.
Pour expliquer cette faillite, les entreprises du secteur dénonce un environnement défavorable, marqué par une situation énergétique déficitaire, la mauvaise qualité des infrastructures notamment routières, le faible pouvoir d’achats des populations…
En 2001, plus de 2,7 millions d’emplois avaient été recensés par le Man dans un sondage concernant 300 entreprises.
« Durant l’âge d’or de l’industrie manufacturière au Nigeria (1978-1980), le taux de pauvreté était de 28,17%, avec le déclin de cette industrie, la pauvreté s’est progressivement étendue jusqu’à atteindre le pic de 70.9% », a regretté le patron de l’association
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