La décision prise, selon le président, « au nom de la paix, de la quiétude sociale » et de « l’unité nationale », a été annoncée par le chef de l’Etat lui-même dans un message diffusée par l’Office de Radio Télévision du Mali (ORTM, publique).
Salué par certaines associations de femmes au Mali et en Afrique au moment de son adoption par l’assemblée il ya près de deux semaines, le nouveau Code a fait l’objet de vives contestations entraînant de grandes manifestations de rejet à Bamako et dans le reste du pays.
Le samedi 22 août, notamment plus de 50.000 personnes se sont rassemblées dans la capitale malienne à l’appel du Haut Conseil Islamique pour dire « non » au texte.
Pour ceux qui s’opposent au nouveau code, celui-ci remet en cause les valeurs fondamentales de la société malienne, à plus de 90 % musulmane.
Le président qui dit « assumer » sa décision de ne pas promulguer le nouveau texte a cependant déclaré que celle-ci a été prise après « des consultations avec les institutions de la république, la société civile, les communautés religieuses, les familles fondatrices de la ville de Bamako et le Barreau ».
Toutefois, a-t-il encore souligné, « il y a lieu de retenir que sur 1143 articles, seulement 10 posent problème et les 1133 autres articles sont acceptés »
Salué par certaines associations de femmes au Mali et en Afrique au moment de son adoption par l’assemblée il ya près de deux semaines, le nouveau Code a fait l’objet de vives contestations entraînant de grandes manifestations de rejet à Bamako et dans le reste du pays.
Le samedi 22 août, notamment plus de 50.000 personnes se sont rassemblées dans la capitale malienne à l’appel du Haut Conseil Islamique pour dire « non » au texte.
Pour ceux qui s’opposent au nouveau code, celui-ci remet en cause les valeurs fondamentales de la société malienne, à plus de 90 % musulmane.
Le président qui dit « assumer » sa décision de ne pas promulguer le nouveau texte a cependant déclaré que celle-ci a été prise après « des consultations avec les institutions de la république, la société civile, les communautés religieuses, les familles fondatrices de la ville de Bamako et le Barreau ».
Toutefois, a-t-il encore souligné, « il y a lieu de retenir que sur 1143 articles, seulement 10 posent problème et les 1133 autres articles sont acceptés »
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