«L’objectif est de développer les relations sud-sud », selon Oumar Yugo, directeur général d’une entreprise burkinabé spécialisée dans les travaux publics et l’énergie, cité par La Tribune.
Selon lui, « les entrepreneurs africains se connaissent finalement assez peu. C’est un vari gâchis car il n’est toujours pas nécessaire d’aller jusqu’en Europe pour trouver les entreprises compétentes ».
Le journal français soutient que « le choix du Burkina Faso n’est pas anodin » en rappelant que ce pays sahélien enclavé affiche un taux de croissance de plus de 6 % l’an depuis le début de la décennie. Deux fois plus vite que le reste de la zone Uemoa qui a cru en moyenne de 3,4 % par an depuis le début de la décennie, selon le journal.
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