Le Niger a octroyé "quatre permis" à al société minière couvrant une zone d’une superficie de plus de 1.800 km2, selon des informations fournies par Uramin et parvenues à Ouestafnews.
La société affirme avoir obtenu des conditions fiscales "très favorables", au terme de la convention signée avec Niamey.
La signature de cette convention intervient alors que les cours de l’uranium connaissent une "surchauffe" sur les marchés internationaux, de l’avis de plusieurs experts. Les mêmes anlaystes notent toutefois que cette flambée des prix ne bénéficie pas beaucoup "aux producteurs" (les sociétés minières), encore moins aux pays d’où sont extraits les minerais. Les grands groupes financiers ayant rendu possible les investissements étant les principaux bénéficiaires.
A titre d’exemple, le Niger classé troisième producteur mondial d’uranium, reste parmi les pays les plus démunis de la planète.
"Le Niger est le troisième producteur mondial d’uranium, mais en 40 ans de production, on n’en a jamais vraiment profité", a récement admis lors d’un séjour à Berlin son premier ministre Hama Amadou, pour qui le Niger "a besoin d’un partage responsable" de ses richesses minières.
Les autorités de Niamey, selon le ministre nigérien de la communication Mohamed Ben Omar,veulent faire passer leur production de 3000 tonnes d’uranium à 10.500 dans les toutes prochaines années.
Jusque là, la multinationale française Areva, était la principale bénéficiaire de l’exploitation de l’uranium nigérien. Elle continuera de rester un partenaire "stratégique", selon Niamey. Néanmoins "le Niger est un pays souverain qui peut diversifier ses relations économiques", selon Ben Omar, qui précise que "c’est d’ailleurs pour cette raison que nous (le Niger) avons accordé des permis à différentes sociétés".(Ouestafnews)
La société affirme avoir obtenu des conditions fiscales "très favorables", au terme de la convention signée avec Niamey.
La signature de cette convention intervient alors que les cours de l’uranium connaissent une "surchauffe" sur les marchés internationaux, de l’avis de plusieurs experts. Les mêmes anlaystes notent toutefois que cette flambée des prix ne bénéficie pas beaucoup "aux producteurs" (les sociétés minières), encore moins aux pays d’où sont extraits les minerais. Les grands groupes financiers ayant rendu possible les investissements étant les principaux bénéficiaires.
A titre d’exemple, le Niger classé troisième producteur mondial d’uranium, reste parmi les pays les plus démunis de la planète.
"Le Niger est le troisième producteur mondial d’uranium, mais en 40 ans de production, on n’en a jamais vraiment profité", a récement admis lors d’un séjour à Berlin son premier ministre Hama Amadou, pour qui le Niger "a besoin d’un partage responsable" de ses richesses minières.
Les autorités de Niamey, selon le ministre nigérien de la communication Mohamed Ben Omar,veulent faire passer leur production de 3000 tonnes d’uranium à 10.500 dans les toutes prochaines années.
Jusque là, la multinationale française Areva, était la principale bénéficiaire de l’exploitation de l’uranium nigérien. Elle continuera de rester un partenaire "stratégique", selon Niamey. Néanmoins "le Niger est un pays souverain qui peut diversifier ses relations économiques", selon Ben Omar, qui précise que "c’est d’ailleurs pour cette raison que nous (le Niger) avons accordé des permis à différentes sociétés".(Ouestafnews)
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