
Ce fonds doit générer des ventes annuelles estimées à 60 milliards de nairas, rapportent les médias nigérians citant des sources officielles.
Il permettra en outre de préserver quelques 30.000 emplois, dans le secteur de l’industrie textile selon le quotidien The Guardian.
"Les prêts dans le cadre de ce programme seront octroyés à des taux d’intérêt à un chiffre et les traditionnels goulots d’étranglement bureaucratiques seront pris en compte pour en faciliter l’accès", a déclaré le président cité par le quotidien This Day.
En plus des emplois qui seront préservés 200.000 nouveaux emplois seront créés dans les secteurs du textile et du coton.
Les premiers bénéficiaires de ce fonds ont été présentés lors d’une cérémonie de lancement.
L’industrie textile nigériane, à l’image de celle de plusieurs ays africains, souffre de la concurrence des produits étrangers, asiatiques, européens ou nord américains.
Selon la ministre nigériane des Finances Nenadi Esther Usman, sur les 44 sociétés textiles nigérianes passées en revue, 35 étaient opérationnelles, et 9 ne l’étaient que partiellement.
Des recherches faites par Ouestafnews révèlent qu’au Nigeria, on est passé d’une centaine d’unités industrielles textiles en 1999 à seulement une quarantaine aujourd’hui.
Pour les autres pays de la sous région, et notamment ceux de l’Union monétaire ouest africaine (UEMOA), le tableau n’est guère plus brillant.
Ainsi en 1980, on dénombrait 41 unités industrielles textiles contre environ la moitié de ce chiffre à la fin 2006 dans la totalité des huit pays de l’UEMOA que sont le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo.(Ouestafnews)
Il permettra en outre de préserver quelques 30.000 emplois, dans le secteur de l’industrie textile selon le quotidien The Guardian.
"Les prêts dans le cadre de ce programme seront octroyés à des taux d’intérêt à un chiffre et les traditionnels goulots d’étranglement bureaucratiques seront pris en compte pour en faciliter l’accès", a déclaré le président cité par le quotidien This Day.
En plus des emplois qui seront préservés 200.000 nouveaux emplois seront créés dans les secteurs du textile et du coton.
Les premiers bénéficiaires de ce fonds ont été présentés lors d’une cérémonie de lancement.
L’industrie textile nigériane, à l’image de celle de plusieurs ays africains, souffre de la concurrence des produits étrangers, asiatiques, européens ou nord américains.
Selon la ministre nigériane des Finances Nenadi Esther Usman, sur les 44 sociétés textiles nigérianes passées en revue, 35 étaient opérationnelles, et 9 ne l’étaient que partiellement.
Des recherches faites par Ouestafnews révèlent qu’au Nigeria, on est passé d’une centaine d’unités industrielles textiles en 1999 à seulement une quarantaine aujourd’hui.
Pour les autres pays de la sous région, et notamment ceux de l’Union monétaire ouest africaine (UEMOA), le tableau n’est guère plus brillant.
Ainsi en 1980, on dénombrait 41 unités industrielles textiles contre environ la moitié de ce chiffre à la fin 2006 dans la totalité des huit pays de l’UEMOA que sont le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo.(Ouestafnews)
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