Ce projet initié sous l’égide de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) doit assurer la livraison de gaz Nigérian vers le Ghana, indique le quotidien nigérian The Punch.
Selon l’accord signé entre les gouvernements du Nigeria, du Bénin, du Togo et du Ghana, il a été convenu que le pipeline de 1.033 kilomètres et d’un coût de 500 millions de dollars (environ 250 milliards de francs) devrait initialement transporter 120 millions de mètres cubes de gaz par jour du Nigeria vers ses trois voisins ouest africains à compter de juin 2005.
Le traité, d’une durée de 20 ans, garantit un cadre légal et fiscal, ainsi qu’une autorité unique pour la mise en œuvre du projet.
Selon le journal nigérian, c’est environ 600 millions de dollars qui seront dépensés pour développer des infrastructures énergétiques nouvelles dans les quatre pays pour l’utilisation du gaz.
Le réalisateur du projet indique qu’il a déjà inauguré des infrastructures au terminal de gaz d’Itoki au Nigeria, le 28 novembre dernier, précisant toutefois que ses installations sont prêtes à distribuer le gaz depuis avril 2008.
Le projet est administré par la West African Gas Pipeline Company (Wapco, basée au Ghana).
Véritable exemple d’intégration régionale ouest africaine, la Wapco a été effectivement lancée en 1995 par les gouvernements du Bénin, du Ghana, du Nigeria et du Togo pour mener à bien ce projet commun de construction d’un gazoduc, sous l’égide de la CEDEAO.
Parmi les objectifs assignés à la Wapco figurent notamment la fourniture, "d’un gaz propre, abondant, stable et économique depuis le Nigeria" pour favoriser le développement de ses trois voisins que sont le Ghana, le Togo et le Bénin.
En août 2006, la Wapco avait signé un contrat avec la société américaine SES Americom pour une surveillance par satellite du gazoduc ouest africain sur l’ensemble de son tracé.
Selon l’accord signé entre les gouvernements du Nigeria, du Bénin, du Togo et du Ghana, il a été convenu que le pipeline de 1.033 kilomètres et d’un coût de 500 millions de dollars (environ 250 milliards de francs) devrait initialement transporter 120 millions de mètres cubes de gaz par jour du Nigeria vers ses trois voisins ouest africains à compter de juin 2005.
Le traité, d’une durée de 20 ans, garantit un cadre légal et fiscal, ainsi qu’une autorité unique pour la mise en œuvre du projet.
Selon le journal nigérian, c’est environ 600 millions de dollars qui seront dépensés pour développer des infrastructures énergétiques nouvelles dans les quatre pays pour l’utilisation du gaz.
Le réalisateur du projet indique qu’il a déjà inauguré des infrastructures au terminal de gaz d’Itoki au Nigeria, le 28 novembre dernier, précisant toutefois que ses installations sont prêtes à distribuer le gaz depuis avril 2008.
Le projet est administré par la West African Gas Pipeline Company (Wapco, basée au Ghana).
Véritable exemple d’intégration régionale ouest africaine, la Wapco a été effectivement lancée en 1995 par les gouvernements du Bénin, du Ghana, du Nigeria et du Togo pour mener à bien ce projet commun de construction d’un gazoduc, sous l’égide de la CEDEAO.
Parmi les objectifs assignés à la Wapco figurent notamment la fourniture, "d’un gaz propre, abondant, stable et économique depuis le Nigeria" pour favoriser le développement de ses trois voisins que sont le Ghana, le Togo et le Bénin.
En août 2006, la Wapco avait signé un contrat avec la société américaine SES Americom pour une surveillance par satellite du gazoduc ouest africain sur l’ensemble de son tracé.
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