Last Updated on 30/10/2008 by Ouestafnews
Il s’agit des recteurs des Universités de Dakar, Bamako et Ouagadougou, le président de la Conférence des présidents d’université (CPU) et le directeur général de l’Institut de recherche pour le développement (IRD), indique le journal sénégalais Le Quotidien.
Ils se sont réunis à Dakar ”pour mettre en œuvre une stratégie concertée, avec des actions concrètes, pour mieux intégrer la relation entre recherche et formation dans l’enseignement supérieur, développer le partenariat régional entre universités africaines et le partenariat international entre établissements français et africains”, rapporte la même source.
Ils s’engagent en outre à ”contribuer à la consolidation des communautés scientifiques en Afrique de l’Ouest”, en insistant sur le ”positionnement de leurs institutions respectives”.
Michel Laurent, directeur général de l’IRD est d’avis qu”’actuellement, il y a un mouvement de réformes et d’évolutions en France dans ce qu’on appelle le paysage académique, c’est-à-dire les organismes, instituts de recherche et les universités”.
”Actuellement, la loi nous incite à avoir un rapprochement fort entre les universités et les organismes. Construisant ces synergies en France, nous venons ici ensemble, les universités et l’IRD travailler avec nos partenaires que sont les universités. En même temps, les instituts de recherche ont leur place”, a estimé M. Laurent.
”Donc, a-t-il poursuivi, il n’y a absolument pas d’exclusion, au contraire. C’est que le rapprochement avec les universités se fait de plus en plus fort, parce que tout simplement ce sont les universités qui délivrent des diplômes”.
Cette coopération sera matérialisée dans des domaines définis conjointement comme prioritaires : santé, agronomie, biotechnologie, biodiversité et environnement, sciences humaines et sociales pour mieux répondre aux besoins des populations, sachant qu’une coordination sera mise en place pour en garantir la pérennité indispensable.
L’objectif est également d’accompagner la mise en place du système LMD (Licence-Master-Doctorat) dans les universités africaines en mettant l’accent sur les Licences professionnelles, les Masters internationaux et les écoles doctorales à vocation régionale.
Ces différentes institutions veulent en outre favoriser la mise en place de formations co-diplômantes et la production de thèses en co-tutelle, et appuyer les initiatives contribuant à renforcer le rôle des universités dans le domaine de la formation continue et de la validation des acquis de l’expérience.
Elles ont également décidé de veiller sur l’application de la charte des bonnes pratiques, organisant la délivrance des diplômes universitaires français dans le cadre d’une délocalisation ou d’une implantation d’universités françaises à l’étranger.
Elles envisagent d’organiser un séminaire régional annuel réunissant l’ensemble des établissements d’enseignement supérieur et de recherche impliqués dans la coopération académique entre la France et l’Afrique de l’Ouest, en vue de l’émergence de projets communs, d’une meilleure mutualisation de leurs moyens.
Ils se sont réunis à Dakar ”pour mettre en œuvre une stratégie concertée, avec des actions concrètes, pour mieux intégrer la relation entre recherche et formation dans l’enseignement supérieur, développer le partenariat régional entre universités africaines et le partenariat international entre établissements français et africains”, rapporte la même source.
Ils s’engagent en outre à ”contribuer à la consolidation des communautés scientifiques en Afrique de l’Ouest”, en insistant sur le ”positionnement de leurs institutions respectives”.
Michel Laurent, directeur général de l’IRD est d’avis qu”’actuellement, il y a un mouvement de réformes et d’évolutions en France dans ce qu’on appelle le paysage académique, c’est-à-dire les organismes, instituts de recherche et les universités”.
”Actuellement, la loi nous incite à avoir un rapprochement fort entre les universités et les organismes. Construisant ces synergies en France, nous venons ici ensemble, les universités et l’IRD travailler avec nos partenaires que sont les universités. En même temps, les instituts de recherche ont leur place”, a estimé M. Laurent.
”Donc, a-t-il poursuivi, il n’y a absolument pas d’exclusion, au contraire. C’est que le rapprochement avec les universités se fait de plus en plus fort, parce que tout simplement ce sont les universités qui délivrent des diplômes”.
Cette coopération sera matérialisée dans des domaines définis conjointement comme prioritaires : santé, agronomie, biotechnologie, biodiversité et environnement, sciences humaines et sociales pour mieux répondre aux besoins des populations, sachant qu’une coordination sera mise en place pour en garantir la pérennité indispensable.
L’objectif est également d’accompagner la mise en place du système LMD (Licence-Master-Doctorat) dans les universités africaines en mettant l’accent sur les Licences professionnelles, les Masters internationaux et les écoles doctorales à vocation régionale.
Ces différentes institutions veulent en outre favoriser la mise en place de formations co-diplômantes et la production de thèses en co-tutelle, et appuyer les initiatives contribuant à renforcer le rôle des universités dans le domaine de la formation continue et de la validation des acquis de l’expérience.
Elles ont également décidé de veiller sur l’application de la charte des bonnes pratiques, organisant la délivrance des diplômes universitaires français dans le cadre d’une délocalisation ou d’une implantation d’universités françaises à l’étranger.
Elles envisagent d’organiser un séminaire régional annuel réunissant l’ensemble des établissements d’enseignement supérieur et de recherche impliqués dans la coopération académique entre la France et l’Afrique de l’Ouest, en vue de l’émergence de projets communs, d’une meilleure mutualisation de leurs moyens.
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