”Il y a avait une grande attente et un enthousiasme chez les électeurs. Leur détermination à voter s’est traduite par la patience devant les bureaux de vote où ils ont fait la queue pendant plusieurs heures avant de pouvoir s’acquitter de leur devoir civique”, a dit le chef de la mission de la CEDEAO, l’ancien président du Nigéria, le Général Yakubu Gowon lors d’une conférence de presse.
”Les observateurs de la CEDEAO n’ont pas relevé d’incident ou de cas de fraude comme le vote multiple ou bien le vote de personnes qui n’en ont pas l’âge”, a dit le Général Gowon cité par le quotidien Daily Graphic d’Accra. Il a toutefois fait part de ”quelques cas de tentatives d’usurpations de fonctions vite maîtrisées”.
Le général Gowon recommande ainsi à la Commission électorale d’initier une "loi sur le financement de la campagne électorale”. Selon lui, cela devrait permettre de contrôler l’influence de l’argent sur le processus électoral. ”A certains endroits, la campagne a été marquée par l’usage de l’argent par les partis politiques”, a soutenu la mission de la CEDEAO. Le Général Gowon ajoute que certaines règles la campagne ”n’étaient pas scrupuleusement respectées”. Il a cité le cas de ce candidat qui a organisé un meeting le 6 décembre alors que la campagne était officiellement terminée le 5.
Selon la Commission électorale nationale, les premiers résultats rendus publics, le candidat du parti au pouvoir au Ghana, Nana Akufo-Addo, est arrivé en tête au premier tour, sans toutefois obtenir la majorité absolue et un second tour aura donc lieu le 28 décembre.
Avec 49,13% des suffrages (4.159.439 voix), le candidat du Nouveau parti patriotique (NPP) a battu son principal adversaire John Atta-Mills, du Congrès démocratique national (NDC, opposition). M. Atta-Mills, ancien vice-président du capitaine Jerry Rawlings et candidat à la présidence pour la troisième fois consécutive, a obtenu 47,92% des votes (4.056.634 voix).
La Commission électorale ghanéenne a annoncé mercredi qu’un second tour sera tenu le 28 décembre, car aucun des candidats n’a obtenu plus de 50% des voix au premier tour.
”Les observateurs de la CEDEAO n’ont pas relevé d’incident ou de cas de fraude comme le vote multiple ou bien le vote de personnes qui n’en ont pas l’âge”, a dit le Général Gowon cité par le quotidien Daily Graphic d’Accra. Il a toutefois fait part de ”quelques cas de tentatives d’usurpations de fonctions vite maîtrisées”.
Le général Gowon recommande ainsi à la Commission électorale d’initier une "loi sur le financement de la campagne électorale”. Selon lui, cela devrait permettre de contrôler l’influence de l’argent sur le processus électoral. ”A certains endroits, la campagne a été marquée par l’usage de l’argent par les partis politiques”, a soutenu la mission de la CEDEAO. Le Général Gowon ajoute que certaines règles la campagne ”n’étaient pas scrupuleusement respectées”. Il a cité le cas de ce candidat qui a organisé un meeting le 6 décembre alors que la campagne était officiellement terminée le 5.
Selon la Commission électorale nationale, les premiers résultats rendus publics, le candidat du parti au pouvoir au Ghana, Nana Akufo-Addo, est arrivé en tête au premier tour, sans toutefois obtenir la majorité absolue et un second tour aura donc lieu le 28 décembre.
Avec 49,13% des suffrages (4.159.439 voix), le candidat du Nouveau parti patriotique (NPP) a battu son principal adversaire John Atta-Mills, du Congrès démocratique national (NDC, opposition). M. Atta-Mills, ancien vice-président du capitaine Jerry Rawlings et candidat à la présidence pour la troisième fois consécutive, a obtenu 47,92% des votes (4.056.634 voix).
La Commission électorale ghanéenne a annoncé mercredi qu’un second tour sera tenu le 28 décembre, car aucun des candidats n’a obtenu plus de 50% des voix au premier tour.
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