Il est aussi attendu « un renforcement de la coopération Sud-sud, le partenariat entre le secteur public et privé et la coopération entre les institutions supérieures d’enseignement ».
Ce rendez-vous du monde scientifique africain est le fruit d’une collaboration entre la Commission de l’Union africaine, la Banque africaine de développement , la Commission économique pour l’Afrique, l’Association pour le développement de l’éducation en Afrique (Adea), l’Unesco et le gouvernement Kenyan.
En Afrique la recherche scientifique reste un parent pauvre dans les allocations budgétaires des différents gouvernements, selon le rapport 2010 de l’Unesco, à travers le continent seul 0,3% du Produit intérieur brut (Pib) y est consacré.
Au niveau de l’Afrique de l’ouest, la deuxième conférence des ministres en charge de la science et de la technologie de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao, 15 pays), tenu le 24 mars 2012 en Côte d’Ivoire s’est terminée par l’adoption d’une politique régionale en la matière, dénommé (Ecopost, en anglais) et assortie d’un plan d’actions.
Plusieurs recommandations avaient été formulées dont la création d’une Direction de la science, de la technologie et de l’innovation, la mise en place d’un guichet « science et technologie » au sein de son Fonds de solidarité pour le financement des activités de recherche, l’identification des centres d’excellence et des écoles doctorales et l’organisation tous les deux ans de forums sous en science, technologie et innovation.
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