Selon la définition retenue par la FAO, en 1999, les « les produits forestiers non ligneux sont des biens d’origine biologique autres que le bois, provenant des forêts, d’autres terrains boisés ou provenant d’arbres hors forêts ». Parmi ces produits on compte, les fruits, les résines, le miel…
Aussi, « les actions de développement de ce secteur méritent donc plus d’attention dans le cadre de la lutte contre la pauvreté », a affirmé le ministre burkinabè de l’Environnement et du Développement durable, Salif Ouédraogo, cité par le quotidien Sidwaya.
Il a rappelé que des projets et programmes ont été mis en place qui visent à renforcer cette perspective. Salif Ouédraogo a cité le Programme d’appui au secteur forestier (PASF) et le Projet d’amélioration de la productivité et la sécurité alimentaire (PAPSA).
M. Ouédeaogo a par ailleurs récemment inauguré, à Ouagadougou, le nouveau siège de l’Agence des produits forestiers non ligneux (APFNL) du Burkina Faso, une infrastructure évaluée à cent millions FCFA, réalisée grâce à l’appui financier du Grand-duché de Luxembourg et l’appui technique de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
En plus d’être des sources de revenus en milieu rural, le PFNL participent au renforcement de la sécurité alimentaire, à l’équilibre nutritionnel et à la santé.
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