« Il faut le regretter, les intellectuels ne pensent (réfléchissent) pas sur l’évolution politique de l’Afrique»’’, a déploré le président Abdoulaye Wade qui présidait la cérémonie d’ouverture en présence du président de la Commission de l’Union africaine, le Gabonais Jean Ping.
Le débat sur les Etats-Unis d’Afrique divisent actuellement les pays africains, notamment au niveau de l’Union africaine où certains pays veulent instituer dans l’immédiat un gouvernement fédéral panafricain alors que d’autres s’y opposent de manière vigoureuse.
Lors de son allocution le président Wade, un des partisans de la mise en place immédiate du gouvernement fédéral, a invité les participants à être « courageux » et « réalistes », afin de pouvoir s’impliquer davantage dans le combat pour l’intégration du continent.
Pour sa part, Jean Ping a relevé deux principaux points qui posent problème à la feuille de route pour la marche vers le « gouvernement » de type fédéral. Il s’agit du type d’Etat à proposer et du concept de « l’Autorité de l’Union », a-t-il expliqué aux participants.
L’Autorité de l’Union, appelée à remplacer l’actuelle Commission de l’Union africaine était la voie intermédiaire préconisée pour concilier les deux camps, opposés sur la manière de conduire le processus d’intégration.
Cette rencontre de quatre jours porte sur le « rôle et place de l’Afrique dans la gouvernance mondiale».
Elle est organisée par l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) dans le cadre de son cinquantenaire.
Un symposium sur les Etats-Unis d’Afrique sera suivi d’un forum sur le rôle et la place de l’Afrique dans la gouvernance mondiale.
Une vingtaine d communications portant sur différents aspects du fédéralisme sont prévues lors de cette rencontre.
Le débat sur les Etats-Unis d’Afrique divisent actuellement les pays africains, notamment au niveau de l’Union africaine où certains pays veulent instituer dans l’immédiat un gouvernement fédéral panafricain alors que d’autres s’y opposent de manière vigoureuse.
Lors de son allocution le président Wade, un des partisans de la mise en place immédiate du gouvernement fédéral, a invité les participants à être « courageux » et « réalistes », afin de pouvoir s’impliquer davantage dans le combat pour l’intégration du continent.
Pour sa part, Jean Ping a relevé deux principaux points qui posent problème à la feuille de route pour la marche vers le « gouvernement » de type fédéral. Il s’agit du type d’Etat à proposer et du concept de « l’Autorité de l’Union », a-t-il expliqué aux participants.
L’Autorité de l’Union, appelée à remplacer l’actuelle Commission de l’Union africaine était la voie intermédiaire préconisée pour concilier les deux camps, opposés sur la manière de conduire le processus d’intégration.
Cette rencontre de quatre jours porte sur le « rôle et place de l’Afrique dans la gouvernance mondiale».
Elle est organisée par l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) dans le cadre de son cinquantenaire.
Un symposium sur les Etats-Unis d’Afrique sera suivi d’un forum sur le rôle et la place de l’Afrique dans la gouvernance mondiale.
Une vingtaine d communications portant sur différents aspects du fédéralisme sont prévues lors de cette rencontre.