Par Ouestafnews
Il s’agit de l’Université de Lagos (Nigeria), de l’Université de Lomé (Togo) et de l’Université Charles Louis Montesquieu d’Abidjan (Côte d’Ivoire). Avec cet accord, ces universités mettent en place un cadre pour la formation et l’échange de programmes entre étudiants des quatre universités à travers des conférences interuniversitaires pour les études doctorales, rapporte la même source.
En outre, l’objectif est de mettre en place un mécanisme permettant aux étudiants inscrits dans l’une de ces institutions de poursuivre le même programme de PhD (doctorat) qui sera ainsi dispensé dans plusieurs langues.
L’accord va renforcer la reconnaissance des diplômes des institutions membres et régler en même temps le problème de la disparité dans les programmes académiques.
Cela permettra également d’avoir un pool d’experts pour l’encadrement des doctorants et faciliter la mobilité des chercheurs.
Le professeur Asabere-Ameyaw, vice-recteur de l’Université de Winneba, a insisté sur la nécessité de réduire la dépendance vis-à-vis des universités occidentales dans le domaine de la haute recherche ; ”une situation qui pousse souvent les chercheurs africains à s’éloigner des sujets qui préoccupent réellement le contient”.
Il a dit que la plupart des problèmes d’ordre économique, politique, social et académique ne peuvent pas trouver de solution si la recherche tend à éloigner les universitaires africaines des véritables perspectives de développement du continent”.
En outre, l’objectif est de mettre en place un mécanisme permettant aux étudiants inscrits dans l’une de ces institutions de poursuivre le même programme de PhD (doctorat) qui sera ainsi dispensé dans plusieurs langues.
L’accord va renforcer la reconnaissance des diplômes des institutions membres et régler en même temps le problème de la disparité dans les programmes académiques.
Cela permettra également d’avoir un pool d’experts pour l’encadrement des doctorants et faciliter la mobilité des chercheurs.
Le professeur Asabere-Ameyaw, vice-recteur de l’Université de Winneba, a insisté sur la nécessité de réduire la dépendance vis-à-vis des universités occidentales dans le domaine de la haute recherche ; ”une situation qui pousse souvent les chercheurs africains à s’éloigner des sujets qui préoccupent réellement le contient”.
Il a dit que la plupart des problèmes d’ordre économique, politique, social et académique ne peuvent pas trouver de solution si la recherche tend à éloigner les universitaires africaines des véritables perspectives de développement du continent”.
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